Créer un site internet

Textes pour adultes.

  • Un marchand de glace !

    Images 8

    Un marchand de glaces.

    Un vrai four dehors.

    Elle se retrouve seule dans sa maison.

    Son mari et ses enfants sont partis deux jours dans un parc d’attraction. Elle n’a pas voulu suivre.

    C’était déjà un gros budget et elle déteste cela. Son mari au contraire est un véritable enfant ! Pour une fois il va passer du temps avec ses enfants…Il travaille beaucoup et les petits ont rarement l’occasion de partager de longs moments avec leur père.

    Pour elle c’est un peu l’inverse…Elle est beaucoup présente avec les petits et se retrouver seule ces deux jours est une expérience rare…

    Elle a des tonnes de choses à faire, du rangement, des papiers et même du repassage ! Quelle horreur par ce temps !

    Après une nouvelle douche rafraichissante, elle décide de trainer devant une série insipide à la télévision…Elle s’étonne de rester dans cette tenue légère, elle qui est si prude d’habitude…

    Un petit haut très échancré…Un short court qu’elle a enfilé sur son string…et pour une fois ses seins sont libres…En jetant un œil au miroir, elle se trouve finalement très sexy. Elle pense à la tête que ferait son mari, Cédric, s’il était là.  

    Elle allume la télévision et s’allonge sur son canapé…Est-ce la chaleur ou sa tenue, mais elle sait que son corps est en éveil…Elle ose s’avouer qu’elle a envie de caresses…

    Elle est seule, personne pour la voir…Elle s’autorise à laisser courir ses mains sur son corps…Ses seins pointent sous le tissu. Elle ferme les yeux et imagine que ce sont d’autres mains que les siennes…Elle rougit un peu car elle pense à des mains qui ne sont pas celles de Cédric. Ce sont celles de Franck ! Un collègue de bureau. Elle n’a jamais trompé son homme mais depuis que Franck est arrivé dans la société, elle est perturbée par la vision de mains de Franck.

    Elle s’arrange souvent pour les regarder pendant les réunions et même si aucun indice ne trahi quoi que ce soit entre eux, de plus en plus souvent elle pense à lui en faisant l’amour avec Cédric.

    Ne plus se poser de question…La télévision ronronne sans retenir son attention elle s’abandonne à l’instant…

    Bientôt, une de ses mains se glisse sous son petit haut tandis que l’autre ouvre son short ! Ses doigts commencent à effleurer sa chatte. Elle n’a pas envie de se branler avec force, elle a surtout envie de s’effleurer, de se maintenir dans un état d’excitation…

    Il fait très chaud et, entre le ronronnement de la télévision et ses mains promeneuses, elle tombe dans une douce torpeur….

    A-t-elle dormi ? Quelle heure est-il ? Pas le temps de se poser la question ! Un coup de sonnette vient de retentir !

    Sans plus réfléchir, elle se lève pour aller ouvrir…

    La porte ouverte, il y a un homme devant la porte qui porte une chemise publicitaire. Il marque un temps en la voyant ! Devant son air surpris, elle prend conscience du tableau qu’elle offre…

    Le visage à moitié réveillé, son petit haut de travers et ses seins à peine recouverts…Le premier bouton de son short est ouvert…

    Elle s’excuse de façon maladroite…

    De toute évidence le jeune est plus troublé que choqué ! Il bafouille quelques mots qu’il n’arrive pas à comprendre … Elle se met à rire et le trouble du garçon augmente !

    Il reprend un peu ses esprits et explique qu’avec son camion frigorifié, il passe chez les gens pour vendre des produits congelés et présenter son catalogue…Que si elle a cinq minutes etc…

    Elle hésite un instant à le faire entrer…Mais après tout, elle n’est pas débordée et ce garçon est plutôt sympa ! Elle pourrait même se laisser tenter par quelques glaces…Rien qu’à l’idée elle salive…

    Elle le fait entrer, le fait asseoir et lui propose un café ou un verre frais !

    Il accepte immédiatement une canette !

    Elle va vers son frigo et se penche pour sortir les boissons rangées dans le bas de l’appareil…Elle imagine le regard du jeune homme sur ses fesses…Réalité ou fiction mais elle se sent troublée…Elle respire et tente de reprendre ses esprits en apportant les verres et les boissons sur la table.

    Le garçon commence à faire la démonstration de la qualité des ses produits avec une tablette qu’il doit tenir devant elle pour qu’elle puisse mieux voir. Il s’est rapproché d’elle…

    Pour mieux voir ce qu’il propose, elle pose sa main sur les bords de la tablette et effleure sa main…Ce simple contact lui procure un frisson profond et elle sait que ses seins pointent…Elle réalise très vite que le garçon est moins professionnel et que ses yeux glissent souvent sur sa poitrine.

    Elle décide d’accélérer la visite en commandant quelques glaces…Le garçon remplit le bon de commande et lui explique qu’elle a de la chance car il a ces références dans son camion…Elle paie et il lui demande d’attendre cinq minutes pour qu’il rapporte les glaces commandées.

    Elle profite des on absence pour faire un peu de place dans son congélateur…Le froid lui fait du bien…Elle se trouve folle…Bon heureusement dans quelques minutes cette parenthèse sera terminée…Elle se surprend à le regretter…D’ailleurs elle pourrait rapidement se changer…Mais il fait si chaud pense-t-elle avec une parfaite hypocrisie !

    Le voilà qui frappe doucement à la porte…

    Il lui donne les deux boites commandées et il se penche avec elle sur le congélateur pour l’aider à ranger ses achats…

    Il pose sur la table deux esquimaux !

    « J’ai des échantillons, je voulais vous remercier du verre ! On les mange ? »

    Comment résister ! Ils commencent à sucer côte à côte leur gourmandise…Ils parlent peu et sans se concerter prennent tout leur temps…

    A force de déguster très lentement…L’accident arrive et un morceau de la glace tombe dans son décolleté, reste en suspens sur la naissance de ses seins…

    Pourquoi reste-elle paralysée au lieu d’attraper très vite un morceau d’essui tout…

    Le jeune homme approche sa main et vient récupérer du bout du doigt ce petit morceau…Après l’avoir récupéré il se met à sucer son doigt en la regardant dans les yeux…

    Elle devine qu’elle est perdue…Elle sait que si elle ne le fait pas partir tout de suite…

    Cette fois de façon tout à fait volontaire, elle laisse un nouveau morceau de glace tomber sous sa gorge !

    Le garçon sourit…Il se penche et vient maintenant récupérer la glace directement avec sa bouche…Il la garde sur le bord de ses lèvres et se redresse et approche sa bouche de la sienne.

    Elle ne se dérobe pas et partage ce premier baiser…

    Ils finissent leurs deux glaces en se regardant…Ils prennent leur temps !

    Leurs regards suffisent à savoir qu’ils ont envie de la même chose…

    Tout en finissant les derniers morceaux de glace, leurs mains se prennent, se croisent, se caressent…

    Les glaces sont terminées, elle vient s’asseoir sur ses genoux et leurs baisers reprennent…Les mains de l’homme glissent sur les seins…Ils les trouvent déjà durs…

    Elle sent sous son short l’excitation de l’homme !

    Il n’a pas encore touché son sexe mais sait déjà qu’elle est trempée…

    Elle se lève !

    Elle lui souffle…Déshabille toi !

    Il est étonné…Pour le rassurer elle jette à terre son petit haut…Il commence à faire tomber ses vêtements…Elle le regarde en défaisant très lentement son short… 

    Il est maintenant torse-nu…Elle se retient de se jeter sur lui…Elle veut jouir du moment…Elle n’a maintenant sur elle que son string…

    Il fait glisser son jean et elle sourit en regardant la bosse de son boxer !

    Il hésite à le faire glisser…Elle s’éloigne un peu…

    « Il fait chaud ! On prend une douche ? »

    Elle entre dans la salle de bains et jette dans la pièce son string…

    L’homme laisse tomber ce qui recouvrait encore son sexe et pénètre dans la pièce d’eau…

    Elle déjà sous la douche ! Elle lui tourne le dos…

    Il respire un grand coup et vient derrière elle ! C’est à lui maintenant de prendre l’initiative…Il lui pose un baiser dans le cou elle sent son sexe dans son dos…Elle ne veut pas le regarder tout de suite mais elle sait déjà que le garçon est gâté par la nature…

    Elle se demande ce qu’il va faire !

    Elle s’attend à un assaut rapide et elle a envie d’être prise tout de suite…

    A sa grande surprise il s’agenouille derrière elle ! Il agrippe son bassin et sa bouche vient à la rencontre de ses fesses ! Bien que surprise elle tend son postérieur vers cette douce agression…

    L’eau continue de couler sur leur deux corps…

    D’une légère poussée, il la fait se pencher en avant…

    Il n’est plus du tout timide…Avec sa langue il ouvre littéralement son sillon…jamais un homme est allé si vite à la rencontre de son cul !

    Pendant un instant elle pense à son mari qui a toujours refusé de lui offrir cette caresse ! Cela décuple l’envie en elle de profiter de l’instant…

    Il prend son temps…Sa langue glisse sur toute la longueur…

    Elle se demande s’il va oser…

    Il ose…Elle redécouvre cette sensation exquise d’une langue qui tourne sur son anus…Il insiste et avec ses mains écarte ses fesses…

    Cette langue la pénètre tandis que l’homme avec habilité vient pincer son clitoris ! Elle explose dans un cri ! A la limite de tomber, les bras de l’homme l’arrache à la douche ! Sans prendre le temps de l’essuyer, il la soulève et la porte jusqu’à la table…Il la couche sur le dos ! A peine le temps de réaliser qu’il la prend immédiatement !

    Elle est écartelée par ce sexe puissant et son excitation est telle qu’elle sent un nouvel orgasme naitre en elle…Monter…monter…elle explose !

    Pas encore de jouissance pour lui, mais avec élégance il s’écarte et va chercher dans le frigo une bouteille d’eau fraiche !

    Elle apprécie ce geste et l’eau l’aide à reprendre ses esprits…

    Elle regarde le sexe de l’homme…Il n’a rien demandé pour lui mais il vient de lui offrir un plaisir magnifique…

    Elle se redresse, prend la main de l’homme et le pousse vers le canapé…

    Il est beau ! Nu ! Le sexe encore très droit…

    Dans sa vie de couple, elle est rarement très audacieuse et elle attend souvent la demande de son mari pour lui offrir une caresse intime…

    Là ce n’est pas pareil…Elle oublie ses tabous…Elle a envie de sucer cette tige qui se dresse ! Elle s’agenouille devant lui…

    Lui commence à caresser ses épaules et ses seins…Elle le repousse…

    « A moi maintenant ! »

    Il laisse aller en arrière et s’abandonne…elle a un sentiment de puissance. Cet homme qu’elle ne connaissait pas il y a quelques heures est en train de modifier son rapport au sexe !

    Elle a envie de ce membre…Elle le renifle, souffle dessus, le titille de sa langue…elle entend le souffle de l’homme…Il écarte grand ses jambes…

    Elle ne va pas se contenter de cette queue, elle va sucer ses bourses, lécher son cul…Elle se fait peur ! Hier encore, elle n’aurait pas osé, même le penser !

    Elle pose sa bouche sur ce gland…Le parcourt de sa langue… Son corps se souvient du plaisir que ce sexe vient de lui offrir !

    Elle le gobe…enfonce son sexe dans sa bouche…Elle suce cet homme comme elle ne l’a jamais réalisé…

    L’homme se tend de plus en plus…elle varie les rythmes, elle se trouve très salope…elle déteste ce mot mais à l’instant, ce mot la fait mouiller ! Elle n’a pas besoin de lâcher cette bite pour savoir que son sexe ruisselle !

    Elle replonge sur ce sexe avec une gourmandise et même une voracité absolue…

    D’un geste, il l’avertie qu’il va jouir…elle aime la bonne éducation de cet homme…d’un regard elle lui fait comprendre qu’elle ne lâchera pas sa proie…depuis toujours elle s’écarte au dernier moment, présente ses seins ou son ventre pour recueillir le sperme de son mari…Maintenant elle ira au bout…La queue vibre dans sa bouche, l’homme se contracte…

    Un premier jet vient frapper son palet…D’autres suivent ! On dirait que cela ne va pas s’arrêter…

    Elle le regarde jouir…

    Elle avale avec surprise ce sperme inconnu…

    Le sexe de l’homme commence à se rétracter…Elle le reprend en bouche doucement…

    L’homme l’attire dans ses bras…

    Un « merci » s’échappe de ses lèvres…

    Elle se blottie…

    « Tu es pressé ? »

    « Pas vraiment, je suis bien »

    « On va reprendre une douche ? Je veux que tu reprennes des forces… »

    « Tu as des projets » répond-il en souriant…

    « Et comment ! j’ai ma dernière virginité à t’offrir »

    Ils se lèvent…la soirée ne fait que commencer…

     

  • Un bonheur sans histoire.

     

    Telechargement 2

    Un bonheur sans histoire.

    Elle est mariée et elle est heureuse…Un bonheur sans histoire qui fait envie à toutes ses amies. Lui est un homme bien. La réussite sociale, le confort matériel. Ils font encore l’amour. Plutôt bien et elle a du plaisir…

    Elle travaille. Elle est reconnue et tout le monde apprécie son efficacité, sa stabilité…

    Un bonheur sans histoire.

     

    Aujourd’hui elle ne travaille pas. Une journée de récupération. Lui vient de partir. Un mot gentil et un baiser…Elle traine au lit. Se le reproche ! Un petit sentiment de culpabilité. Une journée sans obligation, rien qu’à elle.

    Elle se lève pour se glisser sous la douche. Elle s’y attarde un peu plus que d’habitude. Se caresse les seins…Résiste à l’envie de se donner du plaisir…

     

    Elle part faire des courses. Besoin de rien d’urgent mais juste une occasion pour aller flâner dans les boutiques. Un vague projet de refaire leur salon lui donne le prétexte d’une visite dans une grande enseigne de bricolage…

    Il y a peu de monde. Beaucoup de vieux messieurs qui choisissent en prenant leur temps leurs outils, leur matériel. Elle se sent comme l’intruse dans ce décor.

    Elle est habillée comme d’habitude. Rien de provocant mais avec une élégance très féminine. Elle sourit en sachant qu’elle représente un fantasme pour beaucoup d’hommes ainsi.

    Un chemisier blanc un peu juste sur sa poitrine opulente. Un soutien-gorge en dentelle que l’on devine…Le tout sous une veste de bonne coupe. Une jupe qui s’arrête juste au-dessus des genoux…Personne ne le sait mais ce matin elle a mis des bas autobloquants…Elle se le reproche ! Elle pouvait sortir autrement aujourd’hui !

    Elle doit bien se l’avouer. Elle ne sait pas si c’est ce sentiment de vacances ou les premiers rayons de ce soleil de printemps…Mais elle est excitée ! Elle n’arrive pas vraiment à se concentrer sur le sujet de sa recherche…Ah oui ! Des nouveaux rideaux !

    Elle fait plusieurs fois le tour du rayon…Elle touche les tissus, regarde les étiquettes…Son esprit est ailleurs…L’endroit est presque vide…Pas de vendeur…Seul un client, comme elle parcourt l’endroit. Au départ elle ne l’a pas remarqué mais, est-ce le hasard, mais cela fait plusieurs fois qu’il se retrouve à quelques mètres d’elle !

    Elle ajuste ses lunettes et tente de se reconcentrer ! Elle ne comprend pas ce qui lui arrive ! Elle n’a aucune raison de chercher une aventure…Elle est heureuse dans sa vie ! Elle se traite de folle… Si je mettais de tissu violet pour mes rideaux se demande-t-elle ?

    Elle doit bien reconnaitre qu’elle n’a aucune envie de se prendre la tête avec cette histoire de rideaux aujourd’hui…

    L’homme est quelques mètres derrière elle ! Aucun geste déplacé de sa part mais une présence forte…

    Elle reconnait son eau de toilette…

    Elle ne sait même pas s’il est beau…Juste qu’il est plus grand et un peu plus âgé qu’elle…

    Tu es folle ma pauvre !

    Elle voudrait qu’il lui parle…Non quelle idée ! Ou alors juste pour le plaisir de se sentir convoitée…

    Elle réalise qu’il ne l’a peut-être même pas remarquée…

    Elle décide d’aller voir les luminaires…Elle sait qu’elle n’en a pas besoin…Mais juste pour voir s’il viendra…

    Elle se traite de malade ! A quoi tu joues ma vieille ?

    Elle traverse maintenant cette enfilade de lustres…Il fait chaud ici, les lumières dégagent une chaleur troublante…Elle se dit qu’elle ne va pas bien aujourd’hui ! Etre troublé par une succession d’ampoules éclairées…

    Une ou deux minutes se passent et l’homme est là !

    Elle sourit discrètement en se disant qu’elle peut encore susciter le désir d’un inconnu. Petite satisfaction du jour. Elle peut passer à autre chose…Mais pourquoi sent elle son sexe s’humidifier…Une excitation faire durcir la pointe de ses seins !

    Il y a des années que cela ne lui est pas arrivé ainsi…Etre troublé par la présence d’un étranger…Elle tente de se concentrer, d’oublier cet homme qui regarde attentivement des lustres de chambre…Chambre…En pensant à ce mot elle réalise qu’elle a envie de cet endroit avec cet homme !

    Décidée à en finir, elle s’échappe du rayon pour aller voir les peintures, à l’autre bout du magasin. Ici il y a plus de monde. Un vieux monsieur lui demande gentiment de l’aider à déchiffrer une étiquette. Elle se calme et échange même quelques mots avec un vendeur. Ouf ! Elle reprend ses esprits…

    Voilà l’homme qui entre dans le rayon…

    Son trouble est de nouveau là…

    Elle doit fuir…

    Elle attrape un pot de peinture, un peu au hasard et part vers la caisse. Il n’y a presque personne et très visite elle se retrouve sur le parking…

    Elle se surprend à marcher lentement…Comme si elle n’était pas pressée de rejoindre son véhicule…Elle n’ose pas se retourner…Elle arrive à sa voiture. Son portable vibre. Un appel de sa mère. Les mêmes banalités que chaque semaine. Elle s’adosse et s’appuie à sa voiture. Ainsi elle peut regarder vers le magasin tout en ayant l’excuse de la conversation…

    Elle continue de parler à sa mère…et voit l’homme devant le magasin. Il la cherche du regard…Même s’il est encore loin, elle en est persuadée…

    Elle pourrait mettre fin à la conversation, monter dans sa voiture et disparaitre…Elle a le temps…Mais elle prolonge volontairement l’échange téléphonique…Sa mère en est étonnée, elle qui est d’habitude si expéditive…

    L’homme est maintenant à quelques dizaines de mètres…Il avance vers elle tranquillement…Rien de menaçant…Il la regarde…

    Il finit par venir s’appuyer à une voiture à quelques mètres d’elle…Il ne la quitte pas des yeux…

    Elle parle toujours à sa mère…Impatiente de savoir ce qui va se passer et effrayée de ce qui pourrait arriver.

    Ses seins sont durs comme de la pierre et son sexe est trempé !

    Comment cet homme sans entendre le son de sa voix peut-il la mettre dans cet état.

    Elle termine enfin l’échange avec sa maman. Range son portable dans son sac sans oser monter dans sa voiture…

    L’homme s’approche d’elle…Elle va pour parler mais il lui fait signe de se taire…

    Il est là debout devant elle ! Elle est prisonnière de son regard.

    Il prend sa main et la pose sur la bosse de son pantalon…

    Elle s’est laissée faire sans résistance et c’est elle maintenant qui caresse, à travers le tissu, le sexe de cet homme. Il pose ses mains sur ses seins et il devine aisément ces pointes qui appellent les caresses…

    Elle ne contrôle plus rien et quelques instants après ils sont tous les deux dans la voiture. Il a pris d’autorité le volant et démarré. Elle ignore où ils vont mais ne se sent pas en danger. Elle remet la main sur la braguette de l’homme. Elle appuie un peu plus sa caresse !

    Il s’arrête devant une petite maison…

    Oû sont-ils ? Elle l’ignore ! Elle n’a pas regardé !

    Il est très calme, lui prend la main…Ils traversent un hall et montent à l’étage…

    Ils ne parlent pas…Il ouvre une porte et ils sont dans une chambre…

    Il la prend dans ses bras et la pose sur le lit…

    Il la regarde et tranquillement…se déshabille…C’est la première fois qu’un homme se met nu devant elle avec un tel calme…Alors qu’elle est encore habillée.

    Il la regarde debout au bord du lit, tandis que son sexe se dresse…

    Elle ne veut pas restée passive et s’approche de lui…Elle pose la main sur ce sexe bandé…Se penche et dépose un baiser…

    C’est elle maintenant qui décide de lui montrer son corps…

    Comme lui elle prend son temps…

    Elle apprécie de voir son sexe se tendre encore plus tandis qu’elle lui dévoile ses seins…

    Elle fait glisser sa culotte…Décide de garder ses bas…

    Il n’a pas bougé ! Ses yeux n’ont pas quitté son corps !

    Elle s’allonge sur le lit…

    Elle n’a plus aucune retenue…

    Une partie d’elle rejette toutes les conventions…

    Elle a envie d’être très salope…Se moque de ce qu’il pensera…

    Elle ouvre ses jambes…Avec ses doigts elle écarte son sexe pour qu’il la voit toute entière…

    Il se penche sur elle…

    Avec un peu de rudesse, il écarte ses mains et vient coller sa bouche sur ce sexe offert.

    Il sait faire et il faut peu de temps pour qu’elle perde tout contrôle ! Elle jouit ! Crie ! Arrache les cheveux de cet homme ! Il continue et la fait jouir en rafales ! Elle ne se reconnait pas !

    Elle a, à peine le temps de récupérer, qu’il est en elle !

    Il l’a prend avec autorité ! Elle se sent toute petite dans les bras de cet homme puissant !

    Elle est dans un tel état qu’il ne lui faut que quelques va et viens pour partir dans une jouissance totale !

    Elle qui d’habitude aime prendre son temps…

    Elle ouvre les yeux…Réalise qu’elle s’est endormie quelques secondes après son orgasme…

    L’homme est en train de sucer délicatement ses seins…Et elle adore sa façon de s’y prendre…

    Elle a envie de reprendre la main…Elle le repousse et le fait s’allonger sur le dos…

    Il ne résiste pas et lui adresse un sourire…

    Ils ont échangé si peu de mots…

    Elle vient s’asseoir sur son visage…Lui s’applique immédiatement à la manger…à la dévorer…Elle aime la langue de cet homme…Elle est à peine surprise quand cette langue s’échappe de son sexe pour venir ouvrir son cul ! Elle se trouve vulgaire de penser ainsi mais n’a pas le temps de trop y réfléchir car elle éprouve un nouveau plaisir plus trouble…Cet homme qu’elle ne connait pas est en train d’explorer son puits secret…

    Elle se laisse aller en avant…Elle veut elle aussi montrer qu’elle peut lui faire perdre tout contrôle…Elle empoigne son sexe…Le serre très fort pour faire ressortir son gland…Pose sa bouche dessus…

    Aux mouvements du bassin de l’homme, elle devine sa satisfaction…Ses doigts et sa bouche à lui se déchainent sur son corps…

    Elle suce ce gland avec application…Elle a envie de plus. Elle veut que cet inconnu se souvienne d’elle ! Elle fait entrer le sexe de cet homme tout entier dans sa bouche. C’est la première fois qu’elle va aussi loin…Son mari voudrait souvent mais elle n’avait jamais osé…

    Sa bouche est remplie par ce sexe…Elle coulisse dessus en le compressant dans sa bouche…Elle sait qu’il est très excité…Qu’il risque de…

    Elle a toujours refusé à son mari ce plaisir…Pourquoi est-elle en train d’avoir envie d’aller au bout avec cet homme…

    Il ne lui impose rien et elle pourrait le faire jouir sur ses seins…

    Elle ne veut pas…

    Ce jour est hors du temps et elle décide que c’est aujourd’hui qu’elle va briser cette barrière…

    Elle retire le sexe de sa bouche pour mieux le regarder….

    Puis elle l’avale de nouveau…Elle sait qu’il est au bord de la jouissance et se prépare…Quel goût aura-t-il ?

    A peine a-t-elle le temps de se poser la question qu’il gicle dans sa gorge ! Elle continue de le pomper ! Elle veut le vider complètement…

    Elle boit son jus avec application tandis qu’elle repart dans une nouvelle jouissance…

    Ils se sont quittés sans presque rien se dire…

    Il ne sait pas son nom…Elle n’est pas certaine de savoir revenir chez lui…

    Le voudrait-elle ?

    Arrivée chez elle, elle reste longtemps sous la douche…

    Fait tourner une lessive comme pour effacer les heures passées…

    Son mari va rentrer…

    Elle ne comprend pas ce qui s’est passé…

     

    Il arrive, l’embrasse tendrement…

    « Tu as passé une bonne journée ? »

    « Je suis allée voir pour changer les rideaux du salon, j’ai trouvé quelques idées »

    « Je vais prendre une douche, après tu me raconteras… »

    Elle leur prépare un verre, de quoi grignoter…

    Elle se dit qu’elle changera de magasin de bricolage la prochaine fois.

    Elle entend la douche s’arrêter…Elle sourit

    Une belle journée de printemps.

    Un bonheur sans histoire !

     

  • On passe à table...

    Incandescence trop jouer avec feu l jt06j

     

    On passe à table…

     

    11 h 45, elle allait bientôt arriver. Tout était prêt. Un petit repas sympathique, une bonne bouteille. Un peu de musique enclenchée.

    Il avait le trac.

    Depuis des semaines ils échangeaient au quotidien des messages de plus en plus chauds, de plus en plus crus. Il avait découvert avec elle un univers qu’il ignorait. Celui de la soumission.  Pour la première fois, à travers ces mots, elle lui demandait qu’il lui impose sa volonté, qu’il fasse d’elle sa chose.

    Dans quelques minutes elle allait entrer dans cette pièce…

    Passer du virtuel au réel !

    Allait-il être capable de rentrer dans son jeu ? Et elle ?

    Etait-elle dans un simple fantasme ou était-elle désireuse de vivre ce qu’ils avaient si souvent joués depuis des semaines.

    12 h 05…Une voiture ralentit…Se gare…Il respire un grand coup. Ouvre sa porte et sort à sa rencontre.

    Il l’aperçoit.

    Elle ne l’a pas encore vu. Elle ferme sa voiture. Leurs regards se croisent… Un sourire dense.

    Un sourire qui le rassure. Elle est heureuse d’être là et comme lui il y a en elle une lueur d’inquiétude…

    Ils sont encore dehors et elle approche de lui.

    Sous son long manteau elle porte une jupe assez longue fermée par de boutons…Un chemisier blanc et assez...Ou pas assez sage…

    Il laisse deviner dessous un soutien-gorge qui porte ses seins lourds…

    Elle est devant lui…Il lui tend les bras et naturellement elle vient se serrer contre lui.  Une accolade naturelle et il lui caresse les cheveux dans un geste presque enfantin. Rien de calculé dans tout cela…Une façon de se signifier qu’ils sont heureux de partager ce moment, qu’ils sont en confiance.

    Ils pénètrent dans la maison, il l’a fait passer devant… Elle rentre à peine, comme figée sur le seuil…

    Il l’a débarrasse de son manteau et lui dépose un baiser dans le cou.

    Geste encore timide mais elle frémit et penche sa tête un peu plus pour un autre baiser….

    « Tu veux boire un verre ? »

    Ils entament un apéritif en se regardant…

    Même si leur conversation est fluide et légère leur regard et leurs gestes trahissent leur trouble…    

    On passe à table ?

    Elle s’installe et il reste debout quelques instants…

    Il sait qu’il doit prendre l’initiative….

    « Relève toi ! »  C’est la première fois qu’il donne un ordre à une femme sur ce ton…

    Elle le regarde pendant une seconde qui lui semble interminable…

    Leur regard se croise et elle ébauche un sourire en se relevant…

    « Ce n’est pas un repas comme un autre ! Tu vas avoir un ordre à chaque plat...»

    Elle va pour ouvrir la bouche…Ne lui laisse pas le temps…

    « Tu dois obéir ! Sinon… »

    Elle baisse les yeux pour marquer son acceptation…

    « Soulève ta jupe ! »

    Elle relève lentement son vêtement pour révéler une culotte noire…

    « Mauvais début ! Tu devais venir sans rien sous ta jupe »

    « Pardon mais… »

    «Tais toi ! Comme c’est comme cela…Enlève la culotte et la jupe ! Tu vas déjeuner cul nu »

    « Tu discutes ? »

    Sans répondre elle ouvre les boutons de sa jupe et se débarrasse de ses deux vêtements.

    « Approche toi »

    Elle vient devant lui et sans la quitter des yeux il force ses cuisses à s’ouvrir pour planter deux doigts dans sa chatte…

    Il sourit !

    Retire ses doigts et les regarde…Elle est déjà bien excitée…Il suce ses deux doigts en la regardant.

    « Retourne t’asseoir ! On va manger ! »

    Obéissante elle reprend place sur sa chaise et il va chercher l’entrée…

    Et avec le plus grand naturel la conversation reprend comme si tout était normal !

    Elle les fesses nues sur sa chaise, parle de la vie et de son travail…

    L’entrée terminée il débarrasse les assiettes…

    Avant de servir la suite…Il revient debout devant elle…

    « Tu sais que j’ai fait un peu de shopping pour aujourd’hui »

    Il attrape, au milieu d’autres, un paquet posé sur un meuble…

    « Ouvre le » dit-il en lui mettant dans les mains….

    Les mains légèrement tremblantes elle arrache le papier et se retrouve avec un gode dans les mains…

    « Voilà ton nouvel ami ! Lève-toi ! »

    Elle murmure en se levant… 

    « Pas maintenant ! »

    Sa main s’abat sur ses fesses !

    « Tu sais que tu dois obéir… ! Penche toi un peu en avant ! »

    Appuyée sur la table elle lui présente son postérieur…Il passe derrière elle et présente l’objet à l’entrée de son sexe…

    « Ecarte toi bien…Te voilà raisonnable ! Regarde il rentre tout seul ! »

    « Tu peux te rasseoir ! Je vais chercher le prochain plat »

    Ils entament la viande et les légumes…Reprenant une conversation anodine…Elle est un peu moins concentrée…Et ferme les yeux de temps en temps pour mieux apprécier son doux visiteur !

    Elle termine comme elle peut son plat…Il change les assiettes tandis qu’elle reste sur sa chaise…

    Il revient à table…

    « Garde ton chemisier mais enlève ton soutien-gorge »

    Un petit « Non » s’échappe de ses lèvres…

    « Pardon ? Voudrais-tu gouter de cela ?»

    Il sort de sous la table une cravache qu’elle n’avait pas vue…

    « Dépêche-toi ou je te fais tout enlever tout de suite… »

    En se contorsionnant elle défait le vêtement….

    « Donne-le moi ! »

    Elle garde les mains en travers de sa poitrine…Du bout de sa cravache il écarte ses mains…

    Elle s’en défend mais ses larges auréoles tendent le tissu…

    « Mange du fromage ! »

    « Je n’ai plus faim… »

    Avec le bout de la cravache, il lui soulève le visage…

    « C’est un ordre ! Mange !»

    Elle s’exécute et croque à belle dents dans le morceau qu’il a coupé…

    Il recommence à lui parler normalement…

    Situation totalement surréaliste…Elle, fesses nues avec un gode enfoncé dans son sexe, les seins nues et visibles sous son chemisier blanc…

    Tout en lui parlant, il dirige le bout de sa cravache dans son décolleté…

    « Ouvre un bouton de plus !»

    Elle s’exécute…

    « Un autre ! »

    Son chemisier est maintenant largement ouvert…

    « Ne bouge pas ! Je vais débarrasser pour le dessert… »

    Il apporte une corbeille de fruits, une crème anglaise…

    « Lève toi et viens vers moi… »

    Elle s’exécute…Totalement impudique…Le chemisier ouvert et son sexe transpercé par ce gode…

    « C’est bien, tu as été obéissante ! Allonge-toi sur mes genoux…Je vais te préparer ton dessert !»

    Elle hésite mais il l’attrape par le poignet et la couche en travers de ses genoux…

    « Vérifions si tout va bien ! » 

    Il empoigne le gode et le fait aller et venir en elle…Elle ne peut résister, et laisse échapper des soupirs…

    Il retire le gode…Le porte à sa bouche…

    « Voilà un jus qui est excellent ! Tu veux gouter ? » Il replonge l’objet entre ses cuisses…L’enfonce profondément en lui arrachant des soupirs de plaisir…Et le retire…

    « Goute ! »

    Elle se met à sucer avec application l’objet…

    « C’est bien…Tu veux un fruit ? »

    Il épluche une orange et laisse couler du jus sur son dos…Détachant un quartier il lui plonge dans le sexe avant de le déguster…

    « Tout cela est à point…A toi ! »

    Renouvelant la même opération il lui offre un quartier d’orange auparavant bien trempé de son jus…

    Un morceau de pomme, un carré de poire, d’autres morceaux d’orange suivent le même chemin…

    « Je vais te servir de la crème Anglaise »

    « Merci, je n’ai plus faim ! »

    A peine a-t-elle terminée sa phrase que sa main vient faire rougir ses fesses…

    « Ce n’est pas une option…Lève-toi ! »

    Il remplit une coupe de crème et la pose par terre…

    « Va laper à quatre pattes ! »

    Elle le regarde incrédule et constate qu’il ne plaisante pas et avec sa cravache lui fait comprendre qu’elle doit s’exécuter…

    « Enlève complètement ton chemisier ! Tu vas le salir ! »

    « Non s’il te plait ! »

    Un coup de cravache sec sur ses fesses la fait obéir…

    « Voilà ! Maintenant lape la crème ! Oui comme cela ! Tourne ton cul vers moi…C’est bien…Tes seins ballotent ! »

    « Tu es très chienne comme cela ! »

    Elle frémit sous ces mots…

    « J’aime ton cul qui s’ouvre pour moi »

    Elle se sait impudique et très offerte…Elle ressent en elle un plaisir trouble…Elle sait que son sexe est trempé et que ses seins sont durs…

    « Continue de laper… »

    Il prend de la crème sur ses doigts et le posent sur son cul…

    Elle est tellement excitée qu’il n’a aucun mal à enfoncer deux doigts en elle…Elle lève la tête de surprise…

    « Continue de boire ! »

     Il continue de la doigter sans ménagement…Il sait aux soupirs qu’il entend qu’il lui donne du plaisir…

    Bientôt c’est sa langue qui vient remplacer ses doigts et il se régale de son cul offert tandis que ses doigts partent à la conquête de son sexe…

    Totalement ouverte sous ses yeux, il se régale de ce spectacle.

    « Ne bouge pas… »

    D’un seul coup c’est le noir…Il lui passe un bandeau sur les yeux et il voit sa peau frissonner.

    « Ne bouge pas »

    Elle entend qu’il installe quelque chose…Il lui prend les poignets et elle réalise en un instant qu’il vient de le menotter…

    Elle ne sait si elle ressent de la peur ou du plaisir…

    Avec douceur il l’a fait allonger par terre…Il a installé une couverture pour son confort…

    Elle est nue…Allongée sur le sol…Les yeux bandés et les mains liées. Elle n’a d’autre choix que de lui faire confiance…

    Il attrape ses chevilles et ouvre ses jambes…

    En quelques instants elle réalise qu’il vient de lui attacher les chevilles de telle sorte qu’elle est écartelée et ouverte au milieu de la pièce…

    Il se relève et la regarde en silence…Il se régale de la voir ainsi et fait durer le plaisir…

    Il change le disque…Se déshabille sans lui dire…

    Elle est fébrile…Voudrait savoir ce qu’il fait !

    « Tu es là ? Viens ! »

    « Chut ! »

    Elle sent la cravache parcourir son corps sans violence mais l’idée de cet objet sur se peau lui procure des frissons partout…

    Et puis un liquide commence à couler sur ses seins…Elle reconnait l’odeur de la crème Anglaise.

    Quelques instants plus tard, c’est sa langue qui vient lécher ses tétons…La crème coule et sa langue vient la récupérer…

    Ses tétons sont emprisonnés dans sa bouche…On dirait un enfant affamé !

    Elle tente d’échapper à sa bouche mais ses efforts sont vains…Il peut se régaler de ses seins sans contraintes…

    Il masse ses seins avec la crème. Elle est dépendante de ses mains, femme objet…Le liquide glisse sur son ventre et bientôt coule entre ses cuisses…

    La langue vient ouvrir son sexe…Récupérer le breuvage. Son clito est l’objet de toute l’attention de cette langue…La langue s’enfonce, ressort, tourne dans son ventre…

    Bientôt ce sont ses doigts qui la prennent…Qui jouent avec son ventre…

    Elle ne peut s’empêcher de gémir…Elle voudrait se retenir mais elle sait qu’elle va jouir…

    La bouche et les doigts se font plus rapides, plus forts…

    Elle est écartelée et elle ne sait plus combien de doigts sont en elle…

    Son souffle s’accélère…

    Elle voudrait toucher cette tête qui la suce, participer avec ses mains et ses jambes mais elle est prisonnière de ses caresses…

    Elle se cabre !

    Elle jouit !

    Crie !

    Elle s’en veut de ne pas avoir résisté plus longtemps…

    Il continue de la caresser et des vagues de plaisir continuent à parcourir son corps….

    Il vient l’embrasser…

    Sa bouche a le goût de son plaisir et de la crème…

    Elle murmure…

    « Détache moi… »

    « Plus tard…sois patiente »

    Elle l’entend se relever…Il passe son pied sur son corps…Sur ses seins, sur son ventre, entre ses cuisses…

    D’un seul coup une sensation de fraicheur. Il lui passe sur le corps un gant d’eau fraiche…

    Elle frisonne mais apprécie…

    « Tu vas devoir être très gentille »

    Dans un murmure…

    « Oui »

    Elle se demande ce qu’il lui réserve…Elle n’a plus peur.

    Son corps est électrique et elle vient de jouir….

    Il revient vers elle…

    Il devine son corps très proche d’elle sans savoir vraiment ce qu’il fait….

    Elle ne le sait pas encore mais il vient à genoux au-dessus de son visage…

    « Tire la langue ! Tu vas me manger les couilles ! »

    Elle frisonne de ces mots crus…

    Du contact de cette peau inconnu avec sa langue.

    Elle voudrait pouvoir attraper ce sexe mais il reste juste là…

    Entravée comme elle est, elle ne peut bouger sa queue…

    Il bouge sur sa bouche et se laisse descendre sur sa bouche gourmande…

    Elle gobe ses testicules et tire sur sa peau… Il soupire et avance en avant…

    Elle se retrouve avec sa raie sur sa langue…

    « Lèche moi »

    Elle se met à parcourir les yeux bandés l’intimité de ce corps….

    Lui soupire et joue avec ses seins…Avec un peu de brutalité il pince ses tétons…

    Ils sont tous les deux excités…

    Il change de position et elle réalise très vie que c’est son sexe qui maintenant se pose sur ses lèvres…

    Elle n’a pas besoin d’un ordre pour ouvrir la bouche…

    Sans ménagement il s’enfonce dans cette bouche…Surprise elle suffoque !

    Leur excitation est totale…

    Elle s’applique à sucer cette queue qui baise sa bouche…

    Avec sa bouche elle devine son excitation….

    « Je vais te prendre »

    Il se retire de sa bouche…

    Détache ses jambes, les relève autour de ses épaules et s’enfonce en elle !

    Les jambes relevées il se penche sur elle…La prend avec force….

    L’excitation est grande…Ils soupirent tous les deux…

    Il explose en elle !

    Il s’effondre dans ses bras…Et l’embrasse très tendrement…

    Il défait le foulard qui cachait ses yeux.

    « On va prendre une douche ? Je te détache…Mais je n’en ai pas terminé avec toi»

    Avec un petit sourire complice….

    « Oui maitre »

    Il lui tend la main pour découvrir sa salle de bains…Et un autre terrain de jeux…

     

     

     

     

  • Jour de pluie.

    Jour de pluie.

    Images 3

    Ce jour elle est seule. Ménage, repassage. Le temps se prête aux corvées. Les enfants ne sont plus à la maison et son mari a tendance à partir de plus en plus tôt et à rentrer plus tard.

    Vivre à la campagne était pour elle un rêve. Le rêve a du plomb dans l’aile. Elle manque parfois d’énergie pour sortir la voiture et parcourir la vingtaine de kilomètres jusqu’à la bourgade voisine…Et puis pourquoi faire. Une fois les quelques courses effectuées, elle n’a pas envie d’écouter les bulletins de santé de toutes les mamies du coin. Elle s’en veut de sa méchanceté.

    Elle ne peut pas rester à tourner en rond dans sa maison. Elle regarde le ciel dehors. Le temps est très gris. Pas très grave, elle va partir marcher. Cela ne la soigne pas de son spleen mais au moins cela lui fait faire de l’exercice. Elle attrape son manteau et c’est parti.

    Elle marche d’un bon pas. S’éloigne vite de sa maison. La petite route est déserte. Elle décide de faire le grand tour.

    Elle sait qu’un fois engagée elle en a pour plus de deux heures à travers les collines. Elle avance ! Pour éviter de ruminer elle marche vite. Elle regarde le ciel qui s’assombrit. Pourvu que le temps tienne. Elle est partie avec sa robe légère sous son manteau et elle a négligé de prendre son parapluie. Elle se maudit de sa légèreté. Une vraie gamine !

    Elle sait qu’elle est maintenant au point extrême de son circuit. Elle en a au moins pour une heure avant de retrouver son salon douillet.

    Quelques gouttes commencent à tomber…Elle accélère le pas…La pluie redouble. Elle est trempée. Elle tente de faire signe aux voitures mais avec la pluie qui la fait ressembler à un gros chien trempé, qui va bien s’arrêter.

    Plusieurs passent.

    Les plus sympas en s’écartant, d’autres en l’éclaboussant. Au point où elle en est… Elle baisse la tête et avance plus vite. La pluie glisse sur son corps. Elle sait qu’aucune parcelle de sa peau n’est sèche.

    Une nouvelle voiture la dépasse…Elle n’y fait plus attention. Elle ne réalise pas immédiatement que le véhicule s’est arrêté quelques dizaines de mètres devant elle. Elle voit d’un coup la porte conducteur s’ouvrir pour l’inviter à venir se mettre à l’abri.

    Elle devrait se méfier mais coure vers la voiture. Elle s’engouffre dedans. Quelle agréable surprise. Le conducteur n’est autre que Bernard.

    « Désolé j’étais dans la lune, je ne me suis pas arrêté tout de suite…Ferme vite la porte.

    Elle s’excuse auprès de lui de mouiller sa voiture…

    Bernard est le maire de leur village. Avec sa femme Jocelyne ce sont les seules personnes avec qui elle a noué des vrais liens d’amitiés ici.

    Il est étonné de la voir par un temps pareil si loin de chez elle…Elle doit avouer sa légèreté…Il rit en lui disant qu’il part aussi souvent sans parapluie. Il lui propose de se réchauffer chez lui. C’est vrai qu’elle était à côté.

    Quelques minutes après, elle est sur le seuil de sa maison. Elle n’ose pas vraiment entrer de peur de goutter de partout. Il lui prend la main pour la faire avancer. Il attrape une couverture et avec une douceur qui la surprend il ‘l’entoure pour la réchauffer.

    « Jocelyne n’est pas là ? »

    Tandis qu’elle se recroqueville sur une chaise, Bernard semble gêné par la question…

    « Jocelyne est partie…Elle veut prendre du recul ! Je ne suis pas dupe…Elle ne reviendra pas…Cela faisait quelques temps que notre histoire était terminée. Elle a rencontré quelqu’un…Et le ne supportait plus la campagne… »

    Elle frissonne aussi bien du froid que de l’émotion qui se dégage de son ami.

    Il voit qu’elle a froid.

    « Tu devrais prendre une douche chaude. Tu sais où est la salle de bains ! »

    Elle hésite un instant. Un réflexe lui fait penser que ce n’est pas très correct…Elle sourit et se traite d’idiote.

    « Merci Bernard »

    « Tu trouveras des grandes serviettes pour te couvrir dans le placard. Je ne peux rien te prêter de Jocelyne. Elle n’a rien laissé. »

    Elle se lève et part pour la salle de bains. Elle ne ferme pas le verrou. Elle a confiance dans cet homme…Confiance ou a-t-elle envie qu’il se passe quelque chose ? Elle se traite de folle !

    Elle se déshabille.

    Pose tous ses vêtements trempés sur le radiateur. Impression bizarre d’être nue dans une salle de bains étrangère à quelques mètres d’un homme qu’elle a toujours vu comme simplement un ami. Elle est troublée. Elle chasse de son esprit des pensés qui la surprennent.

    Elle s’installe dans la cabine de douche.

    L’eau chaude lui fait un bien fou. Elle laisse ses mains la parcourir pour réchauffer son corps. Elle doit se raisonner pour ne pas se faire du bien. Elle se demande ce qui lui arrive.

    Vite elle arrête l’eau. Se sèche et s’enroule dans une grande serviette. Elle regarde dans la glace et arrange comme elle peut ses cheveux en bataille…

    Elle sort retrouver Bernard. L’atmosphère de la pièce est chaude. Il a lancé un feu dans la cheminée et deux grandes tasses de thé fumant attendent sur la petite table. Elle vient s’asseoir à côté de lui. Trop près ! Elle s’amuse de se poser la question. Il n’est en rien menaçant…Au contraire…Ils se mettent à parler.

    Elle ose lui dire son ennui, sa solitude, les absences de plus en plus longues de son mari…Pour la première fois elle ose dire à un étranger sa quasi certitude. Il y a une autre femme !

    Elle le sait ou l’a deviné depuis quelques temps mais pour la première fois elle ose le dire. Elle laisse échapper quelques larmes.

    Bernard passe son bras sur son épaule pour la réconforter. Le geste est anodin, mais n’ayant que la serviette comme vêtement, ce bras est en contact avec sa peau nue.

    Bernard voit ce corps frissonner…

    « Tu as froid ? »

    Elle le regarde…Ils éprouvent le même trouble sans oser le formuler…

    « Non, pas vraiment, mais je crois que j’ai besoin que tu me serres dans tes bras »

    Il l’entoure de ses bras. Elle laisse ta tête s’appuyer contre lui.

    Ils ne parlent plus…Le silence est troublant, beaucoup plus que n’importe quelle parole.

    Il lui embrasse les cheveux…Sa main fait de petits cercles sur sa nuque…Gestes innocents…Juste pour être certain de ne pas se tromper…Elle tourne sa tête vers lui…Leurs regards se jaugent…Leurs bouches se rapprochent…

    C’est lui qui fait le dernier geste et vient effleurer ses lèvres.

    Elle ne minaude pas. Elle en a autant envie que lui. Leurs langues se découvrent, se livrent une première bataille.

    Ses mains à lui restent sages et n’osent pas encore partir en exploration.

    Pas elle. En l’embrassant elle ouvre les premiers boutons de sa chemise…finalement tous. Elle ose avec sa main effleurer la bosse de son jean.

    Elle ne se reconnait pas….

    Elle sait que son sexe est déjà trempé…

    Elle se lève…Bernard reste quelques instants surpris de cette fuite.

    Debout elle le regarde…Ses mains se portent sur le nœud de sa serviette…

    Elle la laisse tomber et se retrouve nue…debout devant lui.

    Elle aime ce regard qui la dévore…Bernard un peu tétanisé…

    Elle qui a toujours été un peu passive se sent très louve…Elle veut cet homme.

    Elle veut qu’il la prenne tout de suite. De manière animale !

    Elle qui déteste être soumise s’agenouille et se met à quatre pattes devant lui…

    « Viens »

    Bernard réagit et se débarrasse de ses derniers vêtements. Il approche sa bouche de ce corps…

    Elle le regarde….

    « Non…Prends moi tout de suite »

    Il pose son sexe au bord du sien…d’abord lentement pour être certain de son désir à elle…Elle recule son bassin pour s’empaler sur lui.

     Il n’hésite plus…Il la prend avec vigueur.

    Elle perd tout contrôle.

    Elle qui d’habitude met du temps, sait que son plaisir va jaillir !

    Maintenant il ne la ménage pas, et elle adore ! Elle commence à gueuler, à crier !

    Elle jouit à une vitesse qu’elle ne connaissait pas !

    Elle veut encore…Elle veut le sentir en elle…C’est elle maintenant qui donne le rythme ! Elle devine qu’il ne va pas tarder à l’inonder…

    Elle sent son plaisir remonter…elle l’attend ! Au moment il se répand dans son ventre elle s’abandonne à un nouvel orgasme !

    Ils s’effondrent tous les deux. Ils se regardent étonnés et heureux…

    « C’est la première fois que… »

    Elle lui fait signe de se taire… « Moi aussi ! »

    Il est assis par terre.

    Le feu crépite. Elle vient poser sa tête sur sa cuisse…Il lui caresse les seins qu’il n’a pas encore touché….

    Elle tourne la tête…Du bout de la langue elle vient lécher son sexe endormi.

    Elle lui redonne des formes. Elle s’étonne d’avoir encore envie.

    Elle vient s’asseoir sur lui…face à lui…Glisse sa main entre eux pour faire glisser ce sexe en elle.

    Ils s’embrassent…Se butinent avec leur bouche…

    La soirée ne fait que commencer…

  • Chambre 212

    Chambre 212.

    Photo

    Je suis arrivé le premier.

    Un hôtel sans charme dans endroit informel. Une zone comme il en existe trop.

    Il y a maintenant des semaines que nous flirtions comme des adolescents qui ont peur de se faire surprendre par leurs parents.

    Des endroits toujours loin de chez toi, chemins de campagne.

    Tu me parlais beaucoup. On s’embrassait…

    C’était la première fois qu’un autre homme que ton mari te serrait dans ses bras depuis votre mariage il y a vingt ans…

    Tu avais aimé cet homme plus que tout.

    La vie avait usé votre histoire.

    Des corps qui ne se reconnaissent plus, des mots vides de leur sens.

    Un jour tu avais découvert qu’il te trompait. Blessée au début tu avais fini par trouver cela presque normal.

    Votre lit ne dansait plus depuis longtemps, alors où était le crime ?

    Il ne cherchait pas à t’humilier, il restait discret.

    Votre vie quotidienne était douce. Pour tous, un couple sans histoire.

    Cela faisait cinq ans que l’on se connaissaient.

    Deux collègues de bureau parmi tant d’autres.

    J’aimais te regarder.

    J’aime laisser mes yeux se promener sur une jolie femme. Aucune raison pour moi de tenter quoi que ce soit pour te séduire. Tu me semblais une femme mariée épanouie et heureuse. Je n’avais pas envie de bousculer ton harmonie.

    Il a suffi d’une circonstance…

    Il y avait un pot organisé à la boite pour fêter Noël. Comme souvent à cette période de l’année, une grève des transports était annoncée. Notre DRH avait demandé à ceux qui le pouvaient de raccompagner les collègues. En consultant les personnes cherchant une voiture et habitant vers chez moi, j’ai la surprise de voir ton nom. Immédiatement je t’envoie un petit mail pour te dire que tu peux profiter de la soirée, je me ferais un plaisir de et déposer.

    Même si je n’avais aucune arrière-pensée, la perspective de te ramener à ton domicile au milieu de la nuit me procurait réel plaisir…

    18 décembre…Tout le monde se retrouve dans cette grande salle, un peu impersonnelle mais décorée pour la circonstance.

    Je te repère rapidement.

    Je te confirme en trinquant que je suis ton taxi du soir…

    Et puis nous voguons de groupes en groupes. J’ai tout de même noté que tu es particulièrement élégante ce soir. Une robe noire, sage mais fermée par nombre de petits boutons…

    La soirée s’est écoulée dans la bonne humeur. On se croisait de temps en temps.

    Vers 1 heure tu es venue me voir pour savoir vers quelle heure tu voulais partir. La salle se vidait et je t’ai donc proposé de rentrer. Le temps de récupérer ton manteau, nous étions dans ma voiture.

    Je savais que nous en avions pour environ une demi-heure, je conduisais doucement. Notre conversation était agréable, banale au début, elle était devenue très vite plus personnelle.

    Moi qui te croyais heureuse, je devinais que tu n’étais pas pressée de rentrer.

    Le temps est passé très vite. Je me suis garé devant ton adresse. Aucune lumière dans cette ruelle calme.

    Je pensais que tu allais très vite regagner ton foyer. Au lieu de cela, tu n’as esquissé aucun geste pour descendre de la voiture et notre conversion s’est prolongée…

    En si peu de temps je venais d’en apprendre plus sur toi que pendant des années de conversations de machines à café…

    La nuit était particulièrement douce pour la période. Nous étions dans la voiture depuis maintenant deux heures. Nous étions bien. Avec une complicité dans nos mots que l’on ne pouvait imaginer quelques heures plus tôt.

    Tes yeux se fermaient tous seuls…Il était temps d’aller dormir. Je t’ai proposé de passer te prendre lundi matin pour faire la route ensemble.

    Nous en avions autant envie l’un que l’autre. En descendant de voiture, naturellement tu t’es penchée pour me faire la bise…

    Comme par accident ta bouche a effleuré mes lèvres. Cela nous a déclenché un fou rire nerveux. Une façon comme une autre de camoufler notre délicieux trouble…

    En te regardant traverser la rue, pour la première fois j’ai pris conscience que je te désirais…

    Au moment de rentrer chez toi, tu t’es retournée pour m’envoyer un petit baiser de la main…

    J’ai mis plusieurs minutes à démarrer. 

    En arrivant chez moi j’avais un texto de toi…

    « Vivement lundi... »

     

    Notre covoiturage est devenu quotidien. Rien ne changeait au bureau mais nous avions notre intimité à nous.

    Je bénissais les bouchons. Nous savions tous les deux que notre amitié naissante était pleine de sous-entendus et d’envie…Aucun de nous deux ne semblait vouloir rompre le charme de nos bavardages à bâtons rompus.

    Tu m’as expliqué que ton couple n’était plus que de façade, que l’érosion du temps avait été cruelle.

    Si les voyages du matin étaient courts, ceux du soir sont devenus de plus en plus longs… Nous avons trouvé des endroits pour nous arrêter…Des petits bars perdus pour boire quelque chose de chaud quand la température l’exigeait.

    Je trouvais les w.e. très longs.

    Ma dernière compagne était partie depuis des mois et je tournais comme un lion en cage attendant notre lundi matin.

    Un soir, nous étions à l’écart de la grande route…Nous étions en train de rire. Cela nous arrivait si souvent des dernières semaines.

    Je n’ai pas résisté…

    Alors que tes yeux pleuraient de rire, je suis venu coller mes lèvres aux tiennes…

    Tu ne m’as pas rendu mon baiser…

    Tu es restée quelques secondes immobiles, sans un mot…

    Détachée de moi…

    Je me maudissais d’avoir tout gâché.

    Je cherchais les mots pour m’excuser…

    « Je suis désolé… Je te demande… »

    Elle a mis son doigt sur ma bouche…

    « Chut »

    Elle a recommencé à sourire…

    « Embrasse-moi ! ».

    Les semaines qui suivirent ne furent que baisers et entre nous.

    Nous avions la même complicité qu’avant dans nos mots, mais maintenant nos heures volées se passaient enlacées.

    Mes mains parcouraient son corps sans pouvoir la dénuder.

    Quand je lui disais que nous pourrions aller chez moi, elle me répondait qu’elle n’était pas prête, que je devais faire preuve de patience…

    Un soir avant de descendre de ma voiture tu m’as demandé…

    « Tu peux prendre ton après-midi après demain ? »

    Sans même consulter mon agenda je t’ai répondu oui…

    Tu m’as tendu la carte d’un hôtel… 

    « Réserve une chambre ! »

    Avant même que je réagisse, tu disparaissais dans l’allée de ta maison.

    J’étais surpris.

    Il s’agissait d’un hôtel d’une zone industrielle à l’autre bout de la ville. Moi qui rêvait de t’accueillir chez moi pour notre première fois, j’étais désarçonné.

    Pourquoi ce choix ?

    Dès le lendemain je réservais une chambre…Même si je souhaitais la plus belle de l’hôtel, elles étaient standard, fonctionnelles !

    Dans la voiture, je tentais de te faire changer d’avis.

    Rien à faire !

    Tu voulais commettre l’adultère ainsi…

    Devant ma tête désabusée…Tu te mis à rire…

    « Si tu as encore envie de moi après, nous irons chez toi ! Accepte ce petit caprice »

    Pour toute réponse je l’embrassais avec fougue…

    « A demain ».

    Nous avions convenu d’arriver séparément à l’hôtel.

    Je me débrouillais pour arriver le premier, récupérer la carte.

    Dix minutes avant l’heure du rendez-vous, j’étais dans la chambre.

    Je lui envoyais un message.

    « Je suis arrivé, je suis dans la chambre 212. Deuxième étage. Je t’attends »

    Les minutes qui suivirent me parurent interminables…

    Je n’aimais pas cet endroit et j’avais peur qu’il détruise que qui était en train de naitre entre nous. Derrière la fenêtre, je surveillais l’arrivée de ta voiture…

    Quand tu t’es garée, j’ai su qu’on ne pouvait plus reculer.

    Je t’ai regardé descendre de ton véhicule.

    Tu t’étais changée et avait enfilée cette robe noire…Nous en parlions souvent.

    Tu savais que je rêvais souvent de défaire tous ces petits boutons…

    J’attendais maintenant derrière la porte de la chambre que tu frappes…

    J’ai entendu ton pas…Trois petit coups. Tu étais devant moi…

    Tu es entrée sans un mot, tu as déposé ton sac et ta veste et tu es venue te réfugier debout dans mes bras.

    Ta tête sur mon épaule.

    Comme pour te rassurer.

    Je t’ai embrassé dans le cou, des baisers d’effleurement. Je savais que je devais rien précipiter.

    Mes mains sont descendues le long de ton dos, c’était plus fort que moi…

    Une envie irrésistible de caresser ton corps, de le découvrir…

    Tu t’es écartée de moi…

    Toujours habillée, tu as enlevé tes escarpins. Je te regardais tétanisé…

    Tu t’es allongée sur le lit. Ta robe noire sur ce lit blanc !

    Tu m’as fait signe de venir t’allonger près de toi et tu es venue te coller contre moi.

    Il n’y avait rien de sensuel dans ton geste, plutôt l’impression d’une petite fille qui cherche un abri dans des bras sécurisants.

    J’ai posé ma bouche sur ton visage, sur ton front, sur tes paupières.

    Tes yeux étaient fermés. Je me demandais même si tu n’étais pas en train de t’endormir…

    Et puis…

    Tes larmes ont commencé à couler…Très lentement…

    Je ne savais pas quoi dire.

    Je me suis un peu écarté de toi pour te regarder…

    Je suis venu embrasser tes larmes et poser un baiser sur tes lèvres…

    « Tu veux t’en aller ? »

    Tu as ouvert les yeux…

    « Surtout pas ! Laisse-moi le temps »

    « Explique-moi tes larmes ? »

    « Je ne sais pas. J’ai envie de me donner à toi…Je croyais que ce serait plus simple. »

    J’allais parler mais elle m’a fait signe de la laisser terminer.

    « Quand je me suis mariée, j’étais persuadé de ne plus connaitre que lui jusqu’à la fin de mes jours…J’étais une idéaliste. Quand j’ai compris qu’il allait voir ailleurs, j’ai décidé longtemps de lui rester fidèle malgré tout. Mais voilà tu es entrée dans ma vie et toutes mes certitudes ont volé en éclats…Embrasse-moi ! »

    Ce baiser a été particulier, comme si d’un seul coup ces derniers scrupules s’envolaient.

    Toujours allongés, elle m’a fait rouler sur le dos tout en continuant de me dévorer la bouche…

    Elle s’est redressée, assise sur moi.

    Elle a soulevé ses bras pour détacher ses cheveux. Libres ils sont devenus crinière !

    Mon excitation grandissait et avec sa position elle ne pouvait l’ignorer.

    Elle a pris mes mains pour les poser sur son buste…

    « Depuis le temps que tu as envie de défaire ces boutons »

    J’ai respiré un grand bol d’air pour ne pas aller trop vite, surtout profiter de cet instant magique…

    Un…

    Un autre…la lisière de ses dessous…encore un…le galbe de ses seins…bientôt son ventre sous mes yeux…Les derniers…

    Elle enlève sa robe maintenant déboutonnée…

    Elle se lève sur le lit…Debout, les jambes écartées au-dessus de moi !

    Elle me regarde…

    « Ne bouge pas »

    Très lentement elle fait glisser la soie sur ses seins…Je les vois pour la première fois. Leurs pointes déjà dressées…

    « Ne bouge pas »

    C’est maintenant sa culotte brésilienne qui glisse le long de ses jambes…

    Une vue magnifique sur son sexe camouflée sous quelques jolis poils…

    « Ne bouge pas »

    Elle est nue au-dessus de moi encore totalement habillé…

    Elle avance toujours debout…

    Ma tête est maintenant en dessous d’elle. Je devine déjà l’humidité de sa vulve…

    « Ne bouge pas ».

    Mes mains s’élèvent vers ses jambes…

    « Non, ne bouge pas »

    Elle commence à se baisser et son sexe vient se poser sur ma bouche.

    « Fais-moi jouir avec ta bouche ! J’en ai envie depuis notre premier baiser ! »

    Après quelques secondes de surprise, mes mains se posent sur tes hanches…

    Ma langue vient gouter ce festin de roi…

    Pour la première fois je peux boire à ta source…

    Je veux que ton plaisir soit complet…

    J’essaie d’apprendre très vite ton rythme, tes désirs…

    Ma langue se fait lente…Rapide… légère ou profonde…

    Avec délicatesse je viens suçoter ton bouton…

    Tes gémissements me prouvent que je suis sur le bon chemin…

    Sans le vouloir vraiment tu commences à danser sur mon visage.

    J’aperçois tes seins qui échappent à tout contrôle…

    Je ne lâche rien !

    Je veux te faire jouir totalement, que ce plaisir soit total pour toi…

    Ce ne sont plus seulement des gémissements qui sortent de tes lèvres, mais un chant…

    Pendant quelques secondes, tu restes silencieuse comme si tout était en suspend…Puis un cri…

    Ton sexe explose en jets et mon visage est noyé sous cette douche nouvelle…

    Tu t’effondres en travers du lit…

    Seulement secouée par des tremblements qui te traversent. 

    Je te regarde…

    Ma main effleure ton corps.

    Après quelques secondes tu ouvres les yeux…

    Ta main à tâtons prend conscience du lit trempé…

    « C’est moi qui… »

    « Oui, tu as explosé ! »

    « Je suis désolée…Pardonne moi » 

    Je viens te prendre dans mes bras…

    « Tu n’as rien à te faire pardonner, c’était génial de te voir jouir ainsi »

    « Je ne savais pas que cela pouvait être aussi intense »

    Tu réalises que je suis toujours habillé.

    Ma chemise totalement trempée de ton jus. Tu éclates de rire !

    « Mon cœur, je suis égoïste »

    Je te regarde dans les yeux…

    Tu veux vraiment que l’on reste ici ? Chez moi, il y a une grande baignoire, du champagne au frais et mes draps sont changés…

    Tu glisses ton visage dans mon cou…

    Tu relèves ton visage…Avec un grand sourire…

    « Allons chez toi ! J’avais besoin de passer par cet endroit…

    Comme une façon de tourner la page entre mes deux vies »

    Je me lève et te tend les mains pour te lever.

    Tu vas pour ramasser tes vêtements pour t’habiller. J’arrête ton geste. Laisse-moi faire.  Je trouve très troublant de reboutonner les boutons de ta robes…Un par un…

    Tu me fais remarquer que j’ai oublié tes sous-vêtements…

    Je suis distrait…En as-tu besoin ? Ils seront bien dans ma poche. Nous n’allons pas loin…

    J’ouvre la porte de la chambre pour sortir…

    Avant de passer le seuil de la chambre 212, tu regardes une dernière fois l’endroit.

    Tu laisses dans ce lieu sans âme une partie de toi, un chapitre de ta vie…

    Je claque la porte…

    Maintenant nous avons tout notre temps.

     

     

     

  • Quand Mamie ose !

    Quand mamie ose !

    1298737860

     

    Ses petites filles s’amusent devant elle.

    Une mamy modèle, toujours présente pour jouer les nounous.

    Son portable vibre…

    Elle sait déjà que c’est lui.

    Cet inconnu, cet homme plus jeune qu’elle. Il sait par des mots la faire frémir. Il ose avec elle des mots qu’elle ne pensait jamais accepter.

    Sans lire le message, ses seins se durcissent, son sexe tremble.

    Les enfants sont trop petites pour percevoir son trouble.

    Est-ce bien raisonnable ? Il y a quelques semaines, elle a commencé à surfer comme disent les jeunes…Depuis si longtemps il lui disait qu’elle devait se mettre sur les réseaux sociaux.

    « Ce serait bien maman que tu retrouves quelqu’un de ton âge ! Vous pourriez sortir…Nous serions plus tranquilles quand nous ne sommes pas là »

    Elle sourit en y repensant.

    Comment leur dire qu’elle se foutait d’avoir un partenaire de scrabble ou un monsieur fatigué à côté d’elle pour regarder les jeux de la trois ! Elle n’osait pas le dire mais elle avait envie, ou besoin d’un homme ! Un homme avec des mains, une bouche, un sexe ! Un homme qui lui donne l’occasion de jouir à nouveau.

    Certes, il lui arrivait encore de se satisfaire seule dans son lit…

    Un plaisir fugace, un peu mécanique. Ce qu’elle voulait c’est la présence d’un corps contre elle, d’une peau contre la sienne, d’un membre à caresser, à embrasser, à sucer…

    Elle rougit de ses pensées…

    Comment sa jeune troupe pourrait-elle comprendre ?

    Pour eux, elle n’est plus qu’une gentille vieille dame que l’on doit protéger du monde. Lui tenir compagnie, l’écouter en pensant à autre chose.

    Elle n’est pas dupe. Ils se croient dans le monde et elle au-dehors…Pourquoi les contredire ? Cela l’amuse d’avoir cette double facette.

    Elle est allée sur internet…Il lui avait donné une liste de sites qui devaient lui convenir…Elle rit en y repensant. Des galeries de vieux messieurs et vieilles dames qui parlaient de leur club, de leur chorale, de leur tournoi de bridge où de leur visite de musée avec leurs amis.

    Ce n’était pas pour elle.

    Adieu les vieux ! Je vous laisse à vos tranquilles occupations…

    En cherchant, elle a trouvé un site…Ici tout était explicite ! Des libertins, des coquins assumés…Etait-elle trop vieille ? Son corps un peu alourdi méritait-il encore d’être aimé…

    Que risquait-elle ?

    Quelques clics, une photo juste avec la naissance de ses seins, et plus qu’à attendre…

    Elle a compris très vite qu’il y avait là de nombreux pervers, d’éternels frustrés, des obsédés de la braguette incapables d’écrire une phrase complète…

    Sont venus après des hommes, souvent plus jeunes qu’elle qui lui parlait avec gentillesse sans être rebutés par son âge et ses kilos en trop.

    Perdue dans ses pensées, elle n’a pas entendu sa petite fille.

    « On goute bientôt mamie ? Tu rêves ! Ca fait trois fois que je te demande ! »

    « Oui ma puce, on va gouter…Tu sais les grandes personnes elles rêvent aussi. Venez les filles, il y a des crêpes pour vous ! »

    Et puis un homme lui a donné son portable…

    Premiers messages doux, juste gentiment doux et coquins…

    Elle répondait, appréciait cette approche prudente. Lui mettait un petit cran de plus régulièrement…

    De coquins, ils sont devenus plus chauds, plus explicites.

    Elle s’est surprise à ressentir de l’excitation, à attendre les prochains…

    Passive au début, elle s’est fondue dans les scénarios, lui donnant des indications sur ses désirs, ses envies…

    Seule dans son lit ses message lui procurent du plaisir. Son sexe retrouve l’humidité un peu oubliée…

    Petit à petit ces texto vont de plus en plus loin, abattent ses barrières. Il évoque des caresses qu’elle connait si peu…Elle ose lui répondre avec des mots crus.

    Hier, elle a franchi le pas. Elle était seule et lui pas très loin. Il est venu…

    Un peu timides au départ…

    On partage un verre, on parle d’elle, de tout et de rien. Elle sait déjà qu’elle ne repoussera pas ses gestes s’il ose…

    Il ose…Il effleure sa main, son bras…Remonte sur son épaule.

    Son autre main se pose sur sa jambe…A la lisière de sa jupe.

    Elle n’a plus qu’une envie, que cette main remonte vienne toucher son sexe. Elle n’a pas envie de faire semblant de ne pas vouloir…

    Il ouvre son chemisier se glisse. Des doigts vont chercher ses tétons…Pas très pratique, il le sait.

    Sa main abandonne un instant ses cuisses pour la dégrafer. C’est maintenant sa bouche qui vient faire durcir ses seins.

    Elle se moque de tout, maintenant elle a envie de cette bouche partout sur elle…Elle se lève. Lui tend la main. Viens.

    Sa chambre est à côté. Il la déshabille, la pousse en travers du lit.

    Avec autorité il écarte ses cuisses, pourquoi résister !

    Elle commence à sentir son souffle…Il y avait si longtemps…

    Son sexe est déjà une rivière ! Il joue avec elle, sa langue virevolte dans sa chate !

    Elle trouve ses pensées vulgaires, elle s’en moque…Ses doigts la pénètre, sa bouche la dévore…Elle sent monter en elle une jouissance depuis longtemps oubliée…

    Elle crie !

    Danse sur le lit…Il continue…

    Sa langue s’aventure entre ses fesses…Elle est troublée…elle aime. Elle ne sait plus combien de doigts la pénètrent, où cette langue se pose, elle jouit en cascades !

    Elle revient à elle…Il la regarde…

    Son corps connait encore des vibrations, de douces répliques.

    Elle le déshabille, elle veut le toucher…

    Elle lui écarte les mains, veut maintenant mener les débats. Elle serre entre ses dents ses tétons, à la limite de lui faire mal. Devine sa légère peur…

    Elle fait glisser son pantalon.

    Une bosse déforme son caleçon.

    Elle mordille son sexe à travers.

    Elle sait qu’il est à sa merci…Elle se force à prendre son temps. Elle veut le gouter.

    Elle la mamie respectable veut sucer cet homme qu’elle ne connaissait pas il y a une heure !

    Elle sourit de sa douce folie tout en dégageant cette bite qu’elle découvre ! Bite ! Elle se gronde intérieurement !

    Est-ce comme cela que l’on parle à son âge ?

    Elle l’ignore.

    Elle titille ce gland, passe sa langue dessus. Elle entend sa respiration s’accélérer. Elle n’ignore pas que ses amants ont toujours aimé sa technique, son savoir-faire.

    Comme le vélo, certaines choses ne s’oublient pas !

    Pas besoin de remonter loin dans sa mémoire pour retrouver ses gestes savants.

    Elle l’englouti ! Elle le serre très fort dans sa bouche. Elle connait les hommes et sait qu’ils aiment cette douce pression.

    Sa main va chercher ses couilles ! Comme tu parles ma vieille ! Tu n’as pas honte à ton âge !

    Elle se moque d’elle-même. Il est sa chose. Il se tortille sur le lit, ne veut pas se rendre trop vite…

    Il ne résistera pas…

    Avec un « attention !», il lui fait comprendre avec élégance qu’il va jouir !

    Et alors !

    Elle a soif de son jus ! Il y a longtemps qu’elle n’a pas senti un homme couler dans sa gorge !

    Il gicle dans sa bouche ! Elle redécouvre ce plaisir que ses copines ne comprenaient pas ! Elle veut le pomper jusqu’à la dernière goutte, le vider…

    Hier elle a été obligée de le faire partir vite. Son fils allait débarquer d’une minute à l’autre. A peine le temps de refaire son lit, de reprendre son allure de mamie respectable…

    Jusqu’à tard dans la nuit, ils ont échangé des messages…

    Elle a osé lui dire ce qu’elle voulait la prochaine fois…Sentir à nouveau un homme en elle…

    Elle a même osé, elle n’en revient pas…

    Lui dire qu’elle le voulait entre ses reins ! Il y a si longtemps qu’elle n’a plus osé. Elle sait pourtant qu’elle a envie de remettre toutes ses barrières à terre.

    « Mamie, je veux encore du chocolat ! Tu rêves beaucoup aujourd’hui ! »

    « Voilà ma puce ! »

    Dans sa poche…

    Son portable vibre à nouveau…

  • Dans les vignes

    Dans les vignes.

    Balade dans les vignes bourgogne

    Elle m’avait donné rendez-vous au nord de Lyon

    Ce n’était plus la ville, pas vraiment la campagne

    Première rencontre après tant de conversations

     

    Je savais ton goût du jeu, ton envie de séduire

    J’étais là en avance, plaisir de te regarder venir.

    Un dernier doute en moi, allais-tu encore fuir ?

     

    Plus belle que jamais, te voilà. Une jupe affolante.

    Tu me souffles, allons voir les vignes, curieux désir

    Tu ne parles pas, regardant ailleurs, somnolente

     

    Un chemin, un peu d’ombre, les ceps sont là

    Ta main prend la mienne, un petit sentier

    Nous marchons, au milieu du chasselas.

     

    Ton pas ralenti. Nous sommes loin de tout

    Tu caresse une grappe, effleure le raisin

    Geste lent, tu te poses sur les cailloux

     

    A côté de toi, je n’ose poser mes doigts

    Appuyé contre moi tu me poses un baiser

    L’instant est magique, naissance de l’émoi

     

    Tu me fais chut, tu ouvres tes boutons

    Sous mes yeux tes seins prennent le frais

    Encore bien prisonnier, s’agite mon bâton.

     

    Tu décroches un raisin, le presse sur ta peau

    Le jus glisse sur ton corps, ouvre la route

    Tu me jettes ta jupe, un ultime cadeau

     

    Mélange des fruits, raisins et tendre abricot

    Tu connais mes goûts pour eux, alors je viens

    Entre les pieds de vigne, je mélange les sirops.

     

    Allongé sur ce sol rocailleux, tu me chevauches

    En croix entre deux pieds, monté sur mon cep

    Tu chantes pour les cieux, le plaisir te fauche

     

    J’ignore à ce moment comment sera la vendange

    Je sais que ce vin aura pour moi, gout de paradis

    Il y a d’autres vignobles, te veux encore mon ange.

  • Désirs de femmes

    Désirs de femme.

    1831108 3 d82e de par son caractere invisible et subtil le dd03ab4bb8719cdcdc02ea50ea58b417

    Il est là, à quelques centimètres d’elle. Ils parlent de rien, de tout…

    Elle ne veut pas s’évader, elle a honte. Ce n’est pas correct.

    Et pourtant, ses mains s’attardent sur ses mains. Elle sait déjà que s’il ose, elles viendront la toucher tout à l’heure. Elle regarde ces doigts qui bientôt feront frémir sa peau, qui danseront sur son corps…

    Non, rester à la conversation…

    Sous son chemisier ses seins se font dures…Calmez-vous les enfants, on va vous voir…

    Il lui parle de la journée, du temps qui passe, de la circulation, le bavard…Elle répond par politesse pour ne pas le voir fuir. Il y a si peu de temps qu’ils se connaissent…Dis minutes, quinze, quelle importance.

    Sous la table de ce bistrot discret ses jambes se croisent…Se décroisent, lui désobéissent. Elle ne se reconnait pas…

    Elle pense à son mari, le père de ses enfants. Ils font encore l’amour. Il est gentil et patient. Il sait attendre qu’elle le rejoigne dans le désir…Souvent si long.

    Pourquoi aujourd’hui. Pourquoi cet inconnu ?

    Il est drôle cet homme, il a de l’esprit. Elle rit…Et en riant elle pose comme par inadvertance sa main sur son avant-bras…Elle ne l’a pas voulu, cette main lui échappe. Elle touche sa peau, il n’a pas bougé, continue de parler…

    Des images obscènes traversent son esprit. Elle a peur de rougir comme une adolescente…

    « Tu as chaud ? Tu es toute rouge ! »

    Elle répond par une dérobade. Elle ne se voit pas lui dire qu’elle a envie qu’il la baise !

    Elle déteste ce mot mais à cet instant c’est le seul qui lui traverse l’esprit…

    Quel est l’imbécile qui a dit que seuls les hommes ne pensent qu’au sexe ?

    Elle se concentre sur les mots qu’ils échangent mais son esprit est ailleurs. Elle regarde sa bouche, cette bouche qu’elle voudrait à elle, cette bouche qu’elle a envie de sentir partout sur elle…

    Il parle…

    Elle n’arrive plus à l’écouter.

    Par mégarde sa jambe trouve appui contre la sienne…La traitresse…Elle ne contrôle plus ses gestes !

    Après tout pourquoi s’écarter…

    Encore sa bouche !

    Il boit son café, elle devine sa langue…

    Mon Dieu ! Délivrez-moi de mes pensées…Non…Laissez-les moi ! Elles sont si bonnes…

    Elle ne se reconnait plus. Elle voudrait que cette langue la fouille, ouvre son sexe…

    Elle bouge sur son siège…Son ventre s’inonde tout seul…Le traitre…

    Il est là, sa chemise légèrement ouverte…

    Ses yeux descendent…Son esprit ouvre les boutons…

    Elle a du mal à lui répondre…Sa bouche parcourt son ventre.

    Elle ne se reconnait pas. Elle veut cet homme !

    Elle ferme les yeux un court instant, elle devine la ceinture de son pantalon, une bosse qui se forme.

    Elle veut voir ce sexe, sa forme…Elle veut le toucher…

    Me concentrer sur la conversation…J’ai perdu le fil…Pas grave il parle seul…

    Comment est son sexe… ?

    Ils sont tous différents…Elle sourit, elle en connait si peu !

    Il vient de lui dire qu’il aime lui parler ? Qu’il aime son sourire…

    Elle remarque enfin qu’il regarde ses seins…

    Profite ! Ils sont pour toi !

    Elle repart plus bas…Elle ose se l’avouer, elle a envie de le prendre en bouche ! De faire de lui sa chose…

    Elle laisse aller sa jambe plus fort contre la sienne…Elle assume. Elle le veut. Elle veut lui faire l’amour…Elle veut venir s’asseoir sur cette bouche, sentir ses mains sur ses hanches…Sentir ses seins emprisonnés entre ses mains…Elle veut jouir ! Elle veut gueuler ! Elle veut chanter…

    Elle veut…

    Il parle toujours…Il prend enfin sa main…Oh ce contact des doigts, ces doigts qui se mélangent…

    Elle a envie de le faire jouir ! De le voir gicler entre ses lèvres…

    Elle a honte…Plaisir qu’elle refuse à son mari ! Pourquoi lui ?

    Elle veut être sa chose, qu’il la prenne, qu’il la domine…

    Elle !

    Elle qui refuse toute idée de soumission…Là elle voudrait qu’il la soumette, qu’il vienne la prendre comme une chienne, en la tenant fermement par les hanches…

    Elle repousse ces pensées ! ce n’est pas moi ! Je suis folle !

    Pourtant comme une vague les images les plus crues défilent en elle…

    Elle veut cette langue entre ses fesses, elle veut ces doigts qui ouvrent son cul !

    Au secours !

    Elle veut qu’il la prenne ainsi, qu’il lui vole cette virginité…

    Lui est toujours aussi calme…Il lui tient délicatement les deux mains…

    « Tu es très belle ! »

    Elle sourit…

    Avec timidité il lui propose d’aller marcher, de faire le tour du parc…

    Elle se lève…

    « Viens »

    Il veut parler… 

    « Chut, suis-moi »

    Elle habite à deux pas…

    Elle ouvre la porte…

    Il veut dire des banalités…

    Elle pose un doigt sur sa bouche pour le faire taire…

    Elle prend sa main…

    Referme derrière la porte de la chambre…

      

  • La première fois

    La première fois

    Scene d intimite entre un homme et une femme 2172196

    Une goutte de transpiration qui glisse

    Suivant lentement la courbe de ton cou

    Mon regard se pose dessus avec malice

    Je reste là, planté devant toi, debout

     

    Ta main, distraite, effleure mon bras

    Premier contact, l’ébauche d’un émoi

    Ton regard provoque mon embarras

    Je rêve que tu seras bientôt à moi

     

    Mes lèvres posées sur ta nuque, émotion !

    Mes doigts s’enfoncent dans tes cheveux

    Descendent vers tes épaules début d’action !

    Accueil ému de ta peau, je suis heureux.

     

    La pénombre vient se poser à ta demande

    Mes lèvres douces viennent gouter tes seins

    Fruits tendres pour ma bouche gourmande

    J’ai une folle envie de t’aimer jusqu’à demain

     

    C’est au creux de ton antre que je m’enivre

    Elixir secret, boisson créée par les dieux

    Je me régale de la danse de ton ventre

    Spectacle affolant offert à mes yeux.

    Ta douce musique s’élève vers les anges

    Mes oreilles se régalent de cette mélodie

    Mes sens rêvent de nos futurs mélanges

    Plus aucune envie de sortir de ce lit

     

    L’aube vient de se lever, nuit en couleurs.

    Nos corps épuisés ne savent se détacher

    Ne pas ouvrir les volets, oublier l’heure

    Ce matin, j’ai encore envie de t’aimer.

     

     

  • Programme de travail pour apprendre la patience…

    Programme de travail  pour apprendre la patience…
    A5b60e856ce634a0ea1895a1c27b7855 s

    Tu es allongée, nue sur le lit…

    Je ne veux pas me déshabiller, du moins, pas pour l’instant.

    Je vais m’occuper de toi et je sais déjà que tu vas chercher à reprendre la main…

    Tu es sur le ventre, ta tête repose sur tes bras repliés…

    Tu es très belle, tes longues jambes encore serrées, de sympathiques fesses qui appellent les baisers, ton dos qui ne veut que des massages, ta nuque que je sais sensible…

    Soyons patient…

    Je commence par te masser les pieds, sans insister, je ne sais si tu supportes qu’on les touche…

    Mais finalement, il semble que tu ne détestes pas que mes mains s’occupent d’eux…

    Pendant que mes doigts agissent, ma bouche vient baiser tes mollets et bientôt mes mains la rejoignent.

    Tu es toujours très sage, les jambes complètement jointes.

    Ma bouche vient agacer le creux de tes genoux…tu es un peu chatouilleuse ici et je n’insiste pas.

    Mes mains s’attaquent à la douceur de ta peau sur les cuisses.

    Mon massage est pour l’instant très chaste. Je laisse courir mes doigts sur chacune de tes jambes, tranquillement, sans brusquer les choses.

    Lentement, mes doigts glissent vers l’intérieur de tes jambes qui, d’abord fermées s’ouvrent très lentement et doucement.

    Cela permet à mes doigts de caresser ta peau, à cet endroit si sensible. Ma bouche vient de temps en temps lécher ta peau pour la gouter…mais je reste un peu à distance de ton intimité.

    Tes jambes sont maintenant plus ouvertes, je sais que ta pudeur naturelle est un peu bousculée et que tu me fais un très joli cadeau en me laissant te regarder comme cela.

    Mes doigts continuent et mes yeux n’en perdent pas une miette…

    J’ai devant moi ton adorable fessier, son doux sillon…

    J’aperçois tes lèvres intimes, et je devine un début de douce humidité.

    Ma langue vient parcourir ta peau, elle est douce, tout particulièrement là, entre tes jambes.

    Je crois que tu ne détesterais pas que je remonte un peu mais je vais contourner ton sexe…pour le moment…je reviendrai…nous avons le temps.

    Mes mains se posent sur tes fesses, le chiffre est parfait… J’ai deux mains et chacune est bien occupée.

    Il est doux d’alterner des effleurements puis des massages plus forts.

    Tu bouges un peu, comme pour accompagner le mouvement de mes mains… J’ai envie de te surprendre  un peu…

    Ma langue vient lentement descendre le long de ton sillon…

    Tu tentes de te dérober un peu…

    Ne bouge pas, je ne veux que t’offrir des douceurs. Je te sens prise entre deux sentiments…tu ne détestes pas ma caresse mais tu n’aimes pas être totalement offerte et impudique.

     Je ne te laisse pas t’échapper et je viens lécher ta friandise cachée.

    Laisse toi faire…

    J’adore ça !

    Pendant que ma langue s’active, mes doigts viennent parcourir lentement les contours de ton ventre…

    Tout doucement, mes doigts s’enfoncent en toi…j’aime les légers gémissements qui s’échappent de tes lèvres…

    Je calme un peu le jeu…

    J’abandonne un peu le bas de ton corps pour venir masser très chastement ton dos, tes épaules…

    Tu te laisses aller et j’apprécie de te sentir t’abandonner sous mes doigts…

    Voilà que tu  te retournes et te redresses vers moi.

    Tu viens m’embrasser et tu cherches à ouvrir ma chemise, mais petite coquine...C’est pour reprendre le contrôle des opérations !…

    Je ne l’entends pas de cette oreille, je n’en ai pas terminé avec toi.

    Tout en te rendant ton baiser, je te repousse doucement sur le lit.

    J’attrape tes poignets pour poser tes bras le long te ton corps. Tu m’offres une mine boudeuse…mais es-tu vraiment fâchée ? 

    Je prends le risque !

    Je viens embrasser ton front, tes paupières…

    Je viens lécher les contours de ta bouche…

    Tu cherches un baiser plus profond…mais je me dérobe…ma bouche part explorer ton cou,… tes seins se tendent vers moi.

    Je laisse mes doigts dessiner sur ton ventre des figures imaginaires, ma bouche prend possession de tes tétons.

    Je me recule un peu, et c’est au tour de mes mains de masser tendrement chacun de tes mamelons…

    Tu fermes les yeux et je peux t’observer…

    Depuis quelques minutes tu te laisses aller, tu oses laisser tes mains à l’abandon le long de ton corps…

    Ce laisser aller que tu m’offres est un très beau cadeau…tu acceptes de recevoir ma tendresse sans pression, sans chercher une contrepartie immédiate…

    Pendant de longues minutes, je m’occupe de tes seins, de ton ventre, de tes flancs…

    Tu ouvres les yeux et ton sourire est un adorable remerciement…sans te quitter des yeux, l’une de mes mains vient entre tes jambes.

    Mes doigts reprennent possession de toi, nos yeux ne se quittent pas et c’est très excitant de te regarder pendant que mes doigts te fouillent.

     J’aime ce doux plaisir qui monte en toi.

    Pendant qu’une de mes mains prend possession de toi, je viens prendre l’une de tes mains avec l’autre…

    Doux mélange d’émotion ou se mêle un geste très sexe et l’entrelacement très doux de nos doigts.

    Quand mes doigts s’enfoncent en toi, tes doigts, eux serrent les miens.

    A un moment, tu me serres tellement fort la main, que c’est presque douloureux…mais comme cette pression est douce…

    Mais ta patience à des limites, tu te redresses et te libères de moi…

    En quelques secondes, ma chemise et le reste volent dans la pièce…Je ne résiste plus…

    Tu me lâche quelques secondes, et te voilà à quatre pattes sur le lit…

    « Prends-moi « …. Tes désirs sont des ordres !

    Je viens derrière toi…je m’enfonce en toi…

    Ton dos tendu devant moi est très beau.

     Mes mains se posent sur tes hanches et accompagnent nos mouvements. Je ne vois pas ton visage mais aux mouvements de ton corps vers moi, je sais que ton désir est total…J’ai envie de faire durer ce moment…

    As-tu quelque chose contre ce programme ?

  • Balade en montagne…

     

    Balade en montagne…

    3107933689 1 11 raztvvkq

    Je sais que tu n’aimes pas…

    Il n’y a que les idiots qui ne changent pas d’avis…

    Je t’ai enfin décidé à partir grimper sur les chemins à chèvres.

    Tu as le look parfait, un chapeau pour te protéger du soleil d’altitude, une chemise style canadien, largement échancrée en haut et fermée en bas par un nœud…

    Juste ce qu’il faut pour être juste sexy…En bas, tu as adopté un short sportif mais qui se révèle adorablement sexe…

    Nous attaquons le début du chemin, il y a encore des arbres et de l’ombrage, mais je sais que très vite le paysage va se dégager et je compte sur cela pour que tu tombes sous le charme de ces perspectives lointaines.

    Je te laisse monter devant moi…le prétexte est tout trouvé…par galanterie cela te laisse marcher à ton rythme et je m’adapte au tien…

    Je dois avouer que marcher derrière ton short moulé est un panorama qui n’a rien à envier à l’autre.

    Mais très vite, je dois m’accrocher, avec tes grandes jambes et ta sveltesse, tu montes à une vitesse soutenue…

    Surtout que moi … Comme un couillon j’ai embarqué le sac à dos bourré avec le pique-nique, de l’eau, des fringues chaudes, la trousse de secours…

    Les arbres commencent à disparaître, tu ronchonnes un peu moins, est-ce le manque d’air ou le fait que tu te sentes bien ?

    Nous arrivons dans les alpages, le paysage devient sans fin…

    Encore quelques minutes de marche et nous nous retrouvons au milieu d’une mer de moutons. Un jeune berger s’avance vers nous, échange quelques banalités…

    Surtout avec toi…

    Il est clair que te croiser ici, avec ton décolleté et tes jambes bronzées et largement dénudées n’est pas pour lui déplaire.

    J’ai dans l’idée que le pauvre garçon ne pensera pas ce soir, dans sa bergerie qu’à compter ses moutons…

    Il n’a pas l’air de vouloir te lâcher et en quelques minutes tu deviens incollable sur la météo de la région, l’art de manœuvrer un troupeau et les dures réalités de la vie de berger…

    Le pire, c’est que tu fais merveilleusement semblant de t’y intéresser…

    Nous reprenons enfin notre ascension…

    Nous sommes seuls au monde, personne à des kilomètres à la ronde.

    Il est bientôt l’heure de déjeuner, nous nous écartons du sentier pour trouver un endroit plus sympa pour nous installer.

    Nous trouvons notre endroit, une vue dégager, un arbre un peu foudroyé pour nous appuyer, un filet d’eau glacé sortant de sous les pierres…

    Je sors un plaid, quelques nourritures terrestres…

    Je te vois te jeter sur ce simple festin…

    Tu dévores à pleines dents dans le pain…la montagne te creuse…

    Même si je mange moi aussi avec appétit, je me régale encore plus de te regarder magnifiquement intégrée à ce paysage de rêve…

    Notre simple repas se termine bientôt…

    Tu t’allonges sur la couverture…Tu fais voler tes lourdes chaussures de marche…

    Allongée et repue, ton corps se repose, les lunettes très sombres posées sur tes yeux, j’ai l’impression que tu somnoles…

    Le repas est terminé, mais il me manque un dessert !… Je rampe jusqu’à toi …

    Lentement, je pose un baiser sur tes lèvres…

    Un léger râle m’encourage à continuer.

    Du bout de la langue, je parcours le tour de tes lèvres…

    Je sais que tu ne vas pas résister longtemps.

    Ta bouche s’ouvre et notre baiser éveille pour tous les deux d’autres perspectives…

    Ma main s’aventure et très vite ouvre ta chemise, se glisse sur tes seins…

    Ma bouche descend vers eux et je m’offre en dessert deux adorables fruits…

    Ma main continue son œuvre et se glisse dans ton short.

    Il ne me faut que quelques secondes pour constater que la montagne n’a pas d’effet négatif sur ta libido…

    Deux de mes doigts entrent en toi et viennent recueillir un peu de ton nectar…

    Je retire mes doigts et les présente devant ma bouche.

    Je goute sur mes doigts ta liqueur secrète en te regardant dans les yeux…un « encore »s’échappe de tes lèvres…

    Je te débarrasse totalement de ton short…personne à des kilomètres et juste quelques marmottes ou bouquetons risquent de nous voir…

    Je me glisse entre tes jambes et mes doigts et ma langue viennent s’amuser de tes chairs…

    Ton corps ondule au soleil pendant de longues minutes et tes petits gémissements résonnent dans la montagne…

    Ton corps se cabre sur mes doigts, tes yeux se ferment…

    Ton plaisir est doux et fort…

    J’ai envie de toi.

    Mais…

    Tu décides d’inverser les rôles et en quelques secondes, ta bouche se referme sur moi…

    C’est vrai, que toi non plus, tu n’as pas eu de dessert…

    Je crois que tu vas me faire payer le prix fort pour cette marche forcée !

    Tu t’acharnes sur moi, et je lutte pour garder le contrôle…

    Tu sais que je ne vais plus résister longtemps…

    Je tente de t’échapper mais ma résistance est vaine, tu redoubles d’effort pour ne me laisser aucune chance…

    Je sens ma sève monter et tu le sais aussi.

    J’éclate entre tes lèvres et j’ai l’impression de ne jamais m’arrêter…

    Tu ne me relâches pas…

    Tu viens avec ta langue recevoir les dernières gouttes de mon plaisir…

    Je m’effondre les bras en croix et tu viens m’embrasser…

    Laisse-moi reprendre quelques forces…

    J’ai envie de te faire l’amour ici…

    J’ai très envie que tu aimes la montagne et que tu aies envie de revenir…. 

  • Soirée sur les quais...

    Normal pont au change la seine nuit 04

     

    Soirée sur les quais…

     

    La soirée est douce…

    Nous sommes en hiver mais il n’y a pas de vent, je te tiens la main.

    Tu es belle, enveloppée dans un grand manteau…

    Nous sortons du restaurant, nous marchons tranquillement vers notre hôtel…

    Nous prenons notre temps, une façon de faire monter notre désir…tout en marchant, je pense à ton corps…j’ai envie de ne faire plus qu’un avec toi, de me noyer en toi…

    Tu me parles, je redescends sur terre…ta voix… 

    « Si l’on descendait sur les quais »…

    J’adore cette ballade, le fleuve s’écoule gentiment, les lumières de la ville nous entourent.

    Ton bras passe autour de ma taille et tu te laisses aller un peu contre moi en marchant…

    Sensation délicieuse…

    Ces quais sont longs, entrecoupés d’arbre et de bancs…

    Je t’embrasse, tes lèvres sont douces…Notre baiser est doux, comme un apéritif à notre nuit… Ta main prend la mienne et m’attire sur un banc.

    Décidément, nous cultivons notre côté adolescent…

    Le banc est un peu froid pour toi, tu viens t’asseoir de travers sur moi.

    Tes bras m’enlacent…notre baiser se fait plus possessif...

    Nos corps réagissent.

    Tu peux sentir sous tes fesses mon désir, tu me regardes et tu rigoles.

    Je sais que ton corps n’est pas en reste, mais c’est plus discret….

    Tu as froid aux mains, tu soulèves discrètement mon pull, tu défais un ou deux boutons de ma chemise et tu viens les réchauffer.

    La sensation de froid est troublante…

    Ta langue parcourt mon cou, mon visage…je suis au supplice…mon envie de toi n’a jamais  été aussi forte, et tu le sais, et cela t’excite…je sais que ton sexe est une fontaine…attention au gèle…tu reprends ma bouche…

    Ta langue me fait l’amour…tes yeux sont un défi…

    Tu m’abandonnes un peu pour te lever…tu regardes en riant la bosse de ma braguette…ta langue passe sur tes lèvres…tu es un vrai démon !

    Tu t’approches de moi, tu viens t’asseoir à califourchon sur moi…ton manteau nous sert d’abri…

    Nous nous embrassons et ton bassin danse lentement sur moi… mes mains glissent sous ton manteau…je caresse ton dos à travers ton pull…

    A chaque fois que mes mains suivent la courbe de ton dos, le bas de ton corps se presse plus fort contre moi…

    Tu es un instrument et j’adore jouer de tes cordes…mes mains s’aventurent sous ton pull.

    Je sais que tu n’as plus froid…ton corps vient à la rencontre de mes caresses.

    Je dégrafe ton soutien-gorge, tu me fais les gros yeux…pour la forme…

    Mes mains s’aventurent entre nous, elles remontent sous ton pull.

    J’arrive à tes seins…

    Ils sont tout raides, en attente d’un peu d’affection.

    Chacune de mes mains vient à leur secours.

    J’ai l’impression d’avoir contre mes paumes deux oisillons en mal de tendresse…

    A chacune de mes caresses, ta langue me dévore, ton bassin remonte sur moi…

    Et puis, tu te calmes…tu me regardes…ton regard est brulant…ta main descend sur moi…elle vient me prendre à travers mon vêtement.

    Ta caresse est puissante et forte mais tes yeux ne me lâchent pas….

    Ta caresse est double…tu me manipules à travers mon pantalon mais à chaque fois ton corps vient à sa rencontre…

    Tu es en train de mimer l’amour…je dois me concentrer pour ne pas m’abandonner à ton jeu…tu ralentis…je sens tes doigts effleurer ma braguette… faire comme si…descendre et remonter…c’est une torture adorable…et puis tes doigts fins ouvre la fermeture, ils se glissent à l’intérieur…la position n’est pas commode…mais tellement excitante.

    Tes doigts me caressent à travers mon dernier rempart.

    Ils vont très loin, remontent, redescendent…ma respiration s’accélère…tu as pitié de moi, tu dégages le haut de mon sexe qui n’attendait que cela…

    C’est malin, nous sommes en pleine ville, sur un banc, et je suis à moitié nu à l’abri de ton seul manteau…

    Cela te fait rire…

    Tes doigts me caressent en riant…

    Tu recommences à m’embrasser, mon désir très présent entre nous…

    Tu te soulèves légèrement, ta main vient m’empoigner et me guider…encore quelques secondes et je sens au bout de moi la chaleur de ton désir…ta main me pose à l’entrée de toi, et tu te laisses glisser sur moi…Je suis en toi, ton corps ondule doucement sur moi…je ne peux pas trop bouger mais nous savons tous les deux que cela n’a pas d’importance, l’excitation de la situation nous suffit…

    Au dessus de nous passent à quelques mètres des dizaines de voitures, les fenêtres des appartements des quais forment une douce lumière…

    Un bateau mouches passe dans ton dos…nous somme bien…nos baisers reprennent, ton corps me masse comme une amoureuse orientale…

    J’ai l’impression que tu m’offres la plus douce des danses du ventre…tu fermes les yeux…

    Notre plaisir éclate tranquillement, comme une évidence…

    Nous sommes maintenant pressés de rejoindre notre chambre…

    Tu ne vas pas beaucoup dormir…

     

     

  • Un soir au bureau...

    Un soir au bureau….

      Shutterstock 188012843 750x410

     

     

     

     

     

     

     

    La vie est parfois singulière.

    Nous nous connaissons depuis longtemps…

    Tu es une très belle femme.

    Les années sont passées sur toi, les souffrances ont laissé leur trace…

    Mais ton corps respire la sensualité

    Il y a longtemps que je te regarde.

    Il y a longtemps que tu as une place dans ma boite à images.

    Nous parlons souvent de sexe… en riant… entre potes…

    Tu sais comme moi que tout cela émoustille le cerveau.

    J’ai envie de toi…Mais comment te le dire.

     

    Je ne suis pas James Dean.

    Mais après tout…

    Pour gagner, il faut tenter sa chance.

     

    Je laisse courir mon imagination…

     

    C’est le soir, nous sommes en hiver…

    19 Heures…Il fait nuit.

    Je suis dans mon bureau, l’étage est vide.

    Je suis devant mon écran.

    Je t’envoie un message.

    « J’ai envie de toi »

    « Monte ! »

    Je vais sans doute me couvrir de ridicule…

     

    Cet après midi, j’ai réaménagé un peu mon bureau.

    J’ai poussé l’armoire devant la partie vitrée.

    Si tu viens, nous pourrons nous retrouver seuls.

     

    Les minutes passent.

    Je sais que tu as lue mon message.

    L’accusé de réception m’empêche maintenant de reculer.  

     

    Je ne sais que faire.

    Attendre !

    T’appeler pour m’excuser !

    Déjà quinze minutes…

     

    Et puis…

    Mon cœur s’emballe.

    J’entends quelqu’un monter les marches.

    Lentement… Très lentement.

    Dans quelques secondes, je vais savoir si c’est toi.

     

    C’est toi !

    Tes cheveux m’apparaissent dans le dernier virage des escaliers.

    Bientôt je vois ton visage qui regarde vers moi.

    Les dernières marches sont interminables.

    Tu es belle, tu me souris.

     

    Je ne sais pas encore ce qu’il va se passer…

    Mais je sais que rien de grave ne peut arriver.

    Je te regarde monter.

    Il me semble que ton chemisier est plus ouvert que lors de notre pause…

    Maintenant c’est certain…

    On devine le liseré de ta dentelle.

     

    Tu es à l’entrée de mon bureau.

    Tu t’arrêtes.

    Je me lève.

    Les secondes sont des heures.

    Je n’ose aller vers toi.

     

    Tu fermes la porte derrière toi.

    Tourne le verrou

    Eteins la lumière.

    Il nous faut quelques secondes pour nous habituer à l’obscurité.

    Mon bureau n’est plus allumé que par les lumières que l’on devine au loin.

     

    Je m’approche de toi.

    Nos yeux s’accrochent l’un à l’autre.

    J’ai envie de toi

    Mais j’ai peur de rompre la magie de l’instant.

    Je vais pour te parler mais…

    Ton doigt se pose sur ma bouche.

    « Chut »

     

    Tu te décales dans le coin du bureau

    A l’abri des regards

    Appuyée contre la cloison

    Mon visage s’approche du tien.

    J’embrasse ton front

    Tes paupières

     

    Tes bras se referment sur moi

    Nos lèvres se joignent

    Nos bouches s’entrouvrent

    Timidement…

    De moins en moins timidement.

    Je goute le gout de ta bouche.

     

    Je me presse contre toi

    Je veux que tu sentes mon désir

    Ton corps bouge un peu

    Comme pour mieux me sentir.

     

    Mes mains s’affolent

    Viennent ouvrir ton chemisier

    T’en débarrasse

    Tes seins lourds sont là

    Devant mes yeux

     

    La lumière est faible

    Mais je les connais

    Combien de fois mon regard les a devinés

    Ma main passe dans ton dos et les libère.

    Mon visage plonge entre tes seins.

     

    Ta main caresse mes cheveux

    Ma bouche dévore tes appâts

    Je ne me lasse pas

     

    Je me laisse tomber à genoux

    Un « oui » s’échappe des tes lèvres

    Je frotte mon visage contre ta jupe

    Mes mains remontent le long de tes jambes

    Et là petite surprise

    Aucune culotte ne protège ton intimité.

     

    Je te regarde avec un air idiot

    « Je l’ai enlevée après ton mail »

    « Cadeau ! »

    Ma bouche plonge sous ta jupe

    Ton sexe est inondé

     

    Tu me repousses

    Qu’as-tu ?

    Tu te tournes contre le mur

    Te cambres

    « Viens »

     

    Je me libère

    Soulève ta jupe sur ton dos

    Ton cul est magnifique

    Invitation à d’autres voyages

    « Viens »

     

    Comment ne pas t’obéir

    Ton sexe m’attend

    Je m’enfonce en toi

    Lentement

     

    Un bruit !

    Le gardien fait sa tournée.

    « Ne bouge pas ! »

    Une pression sur la poignée de la porte.

    Il repart.

    Il doit vérifier le soir la fermeture des portes.

     

    Je suis toujours en toi.

    Les muscles de ton ventre massent mon sexe

    Je commence un doux va et vient

    Tu accélères le rythme

     

    Notre plaisir commun monte……….

     

     

    6 h 45…Europe 1…. Les premières infos….

    Zut… Tout cela n’était qu’un rêve.

    Je vais te voir tout à l’heure au bureau… Mais

    Je suis trop timide…

    Je n’oserai jamais t’envoyer ce mail…

    A moins que….

     

     

     

  • Rêverie

    Rêverie.

    1116965282 b972307256z 1 20140323174750 000 goc25hgrg 1 0

    Il suffit d’un rayon de soleil, un soupçon de chaleur

    Pour que mon esprit s’envole, qu’il quitte le sol

    Me voici à tes côtés, ici ou ailleurs, avec ma main

    Qui telle une aventurière part découvrir tes rivages

     

    D’abord ta nuque, que tes cheveux s’amusent à camoufler

    Un baiser posé, et voici tes frissons qui m’accueillent

    Pourtant déjà, tes épaules me clignent de l’œil

    Je ne vais pas vous oublier, voici mes lèvres…

     

    Maintenant j’ai envie de descendre dans ton cou

    Ma bouche coule le long pour respirer tes seins

    J’aime leur politesse, leurs museaux demandent un baiser

    Ma langue gourmande vient les faire rouler

     

    Ta main se pose sur ma tête, comme une invite, un appel

    Me faut-il descendre ? Courir sur ton ventre musclé

    Tu voudrais que je m’arrête, tu n’aimes pas t’abandonner

    Pourtant, je n’aime pas interrompre un si tendre voyage.

     

    Voici ton ventre, voici ma destination, mon ile aux trésors.

    Comme sur une terre hostile, je dois approcher à tâtons

    Ouvrir ma route, préparer le chemin, vérifier ton envie

    Pourtant, il me suffit maintenant de souffler sur tes braises…

     

  • Rencontre

    Rencontre
     

     Couple in cafe

     

    Enfin tu m’offres le plaisir de te rencontrer. Rendez-vous est pris dans un bar tranquille.

    J’arrive.

    Je ne connais toujours pas ton visage, mais comme dans les romans policiers, nous avons un signe de ralliement.

    « Je laisserai poser sur la table une rose »

    J’aime l’idée.

    Les roses sont tellement proches de l’image que j’ai des femmes. Elles sont belles et multiples, les pétales sont douces et enivrantes comme un sexe de femme et leurs épines nous rappellent à l’ordre si nous les brusquons et oublions de les respecter.

    Tu es assise au fond de la salle.

    Dans un coin calme et confortable. Des banquettes confortables entourent la table.

    J’approche. Tu viens de me voir. Tu as un sourire envoutant.

    Quelques secondes à nous observer et comme un vieux copain je viens découvrir le grain de ta peau par une bise sage.

    Tu as bien lu mes messages. Un chemisier sage mais qui laisse entrevoir des dessous recherchés. Tes seins sont dissimulés mais tellement présents. Je devine plus que je ne vois, une jupe simple qui s’arrête juste au-dessus des genoux.

    Tout en prenant un verre, nous discutons d’une chose et d’une autre, de banalités de la vie.

    J’ai l’impression que le fluide passe. A une ou deux reprises, je m’arrange pour effleurer tes doigts. Tu ne te dérobes pas.

    Je sais que tu aimes les situations excitantes.

    Tout en continuant à te parler de banalités du quotidien, l’une de mes mains vient se poser sur ton genou.

    Ta bouche me parle de la circulation en ville mais tes yeux se mettent à briller d’une lumière particulière.

    Nous sommes à l’abri des regards. Ma deuxième main vient se poser sur ton autre jambe.

    Lentement, mes mains massent le dessus de tes genoux. Très lentement, je me penche vers l’avant, et mes mains, toujours sous la table, remontent parallèlement vers tes cuisses.

    Tu ne restes pas totalement passive. Avec un air détaché, tu te redresses et vient t’asseoir au bord de la banquette.

    Mes mains viennent de passer la lisière de tes bas. J’aime cet endroit ou la chair est nue...mais où l’on sait que l’on est proche du point de non-retour.

    Sous le bout de mes doigts, je viens de toucher les côtés de ton string. Je commence à le descendre et je vois ton bassin se soulever légèrement pour laisser le passage.

    Nous parlons toujours…Maintenant de nos métiers.

    J’adore ce contraste entre le discours des mains et celui des lèvres.

    Tu viens de soulever tes pieds. J’ai maintenant dans la main un petit morceau de tissu que je passe négligemment  sous mes narines.

    J’aime le parfum qui s’en dégage.

    Tu viens de reprendre ta place normale sur la banquette.

    Seule la pointe de tes seins trahit ton trouble !

    Je me rapproche de toi. J’attrape ton manteau posé sur la banquette pour l’étendre sur tes jambes.

    Bien que surprise, tu me laisses faire.

    Je laisse passer quelques minutes à siroter mon verre. Nous renouvelons nos consommations.

    Notre conversation reste sympa et traditionnelle.

    Tout en continuant à te parler, ma main glisse sous le manteau. Avec autorité, elle s’insère entre tes cuisses et vient se poser à l’entrée de ton ventre.

    Il me suffit d’une phalange éclaireuse pour constater que ton sexe est mouillé. Mon doigt s’enfonce et visite ta grotte.

    Nous continuons à parler mais tu pinces tes lèvres pour éviter de te trahir….un autre doigt…puis un autre viennent envahir ton ventre.

    Ma main coulisse en toi et ta conversation se fait plus hachée !

    Sans te prévenir, je retire ma main, et une petite déception apparaît sur ton visage. Je passe ma main sur ma bouche, et tout en parlant, je lèche un à un chacun de mes doigts avec application.

    Je fais durer le plaisir. J’aime ton gout !

    Ma main replonge entre tes jambes et je trouve tes lèvres totalement ouvertes.

    Ma main se fait plus agile et volontairement plus tremblantes…

    Je vais aussi loin que je peux et je dessine sur tes parois intimes des dessins imaginaires…

    Ton souffle se fait plus court.

    Ma main est inondée…

    Tes mains s’incrustent dans le bois de la table.

    Ta jouissance est muette mais un cri te brule la gorge !

    Tes yeux se ferment pendant quelques secondes.

     

    Tu reviens sur terre.

    En me regardant dans les yeux, tu termines ton verre d’un trait…

    « Et si nous allions boire un dernier verre chez moi ? »

    Comment pourrais-je refuser une telle invitation…

  • Lutine…Qui lutine…

    Lutine…Qui lutine…

    526493 622804604402787 268696611 n

    La lutine est une coquine

    Quand elle se donne, la lutine !

    Elle s’offre à vos doigts la coquine

    Quel plaisir à voir, comme elle aime la p… !

     

    Elle aime faire l’amour avec entrain

    Dans un lit ou même dans votre bain

    Régalez-vous  de sa peau, de ses seins

    Quel paradis quand elle vous prend en mains !

     

    Quand elle se donne, jamais elle ne simule.

    Il faut jouer la partie, Il n’y a pas de match nul

    Quand avec envie, vous vous glissez sous son pull

    Rien ne vous arrêtera, l’envie tendue de voir son c….

     

    Mais attention la lutine n’est pas une mante

    Le seul danger est d’affronter sa tendresse

    Vous oublierez vos soucis, jamais cette amante

    Comme Paris, elle mérite bien une messe.

     

    Pardonnez-moi ce texte peu léger et gentiment grivois

    Si une femme aime l’amour, elle déclenche mon émoi

    Après les douze rounds, elle vous laisse pantois

    Sous ses cris de plaisir, un palefrenier se sent un roi

     

    Petite lutine…

    Dieu un jour te dira merci.

    Aux hommes tu enlèves les soucis

    Devant la lutine coquine, je retrouve la vie…

  • Une femme libre

    Une femme libre

    Femme libre plage

    Elle se donne

     

    Elle avance vers vous

    Elle a envie de vous

    Elle vous montre tout

    Tous ses gestes sont pour vous

     

    Elle s’offre

     

    Elle n’a pas de frein

    Elle ne calcule rien

    Ses yeux ne déclenchent que votre désir

    Sans tricherie, ne compte que le plaisir

     

    Avec son corps

     

    Quand son corps se dénude

    Elle vous incite à ne plus être prude

    Comme une promesse, vous met en appétit

    Ses seins, son ventre, ses cuisses sont vos amis

     

    Un doux combat

     

    Quand elle se donne, l’accueil n’est pas feint

    Sa peau, ses bras, ses jambes, ses mains

    Plus de réserves, plus de fuite, plus de recul

    Vous n’avez plus qu’une envie, dévorer son cul

     

    Comme un sommet

     

    L’amour avec elle est une lutte animale

    La posséder est un chemin, investissement maximal

    Elle jouit, elle souffle, elle crie

    Ces instants de plaisir partagé n’ont pas de prix

     

    Juste après

     

    Quand sur son corps, le calme revient

    Sa tête se pose contre le mien

    Si elle aime l’amour et le sexe

    Avec de la tendresse, ne crois pas que tu la vexes

     

    Conclusion

     

    Elle aime l’amour, elle aime avant le départ

    Son plaisir se construit au travers de votre regard

    Faites lui l’amour, osez la renverser

    Mais à aucun moment il ne faut oublier de l’aimer.

     

    Une femme libre. 

  • Délire à la piscine...

    Délire à la piscine…
     

    Article fantasme piscine

     J’arrive chez toi, c’est l’été et tu es seule.

    Tu es « habillée » d’un « peignoir de plage » qui arrive juste en haut de tes cuisses. J’ai tout de suite envie de savoir comment tu es dessous.

    Tu m’embrasses, mais dès que mes mains se posent sur toi, tu t’écartes et part dans ta cuisine nous chercher un refroidissement…

    Nous bavardons quelques minutes en buvant un verre, nos baisers restent doux et tendres, tu gardes tes distances.

    Tu te lèves, tu t’étires et je devine ton maillot de bains, noir brillant.

    « On va se baigner ? » 

    Sans attendre ma réponse, tu tires sur mon bras et m’entraîne dehors.

    Je suis devant la piscine de tes photos…mon cerveau est en ébullition, je revois devant moi, tes pauses langoureuses, ton corps dévoilé, je devine la séance photo, l’ambiance érotique qui devait régner.

    Je reste quelques secondes un peu rêveur à contempler de façon ahurie les lieux, je reviens à la réalité, et je devine à ton sourire tendre que tu sais totalement vers quelles images naviguait mon cerveau.

     Alors que je suis là, planté comme un idiot, tu laisses tomber ton peignoir sur le carrelage.

    J’ai à peine le temps de voir ton corps que déjà tu plonges en m’éclaboussant dans l’eau.

     J’ai tout de même aperçu ton très joli maillot, deux petits triangles noirs relevés de couleur dorée cache tes seins, en bas c’est un maillot aux hanches brésiliennes.

    Tu nages maintenant de façon très féline, ton corps épouse la vague et caresse l’eau, je reste à regarder le spectacle…

    Tu enchaines une ou deux longueurs et tu t’arrêtes là ou tu as pied.

    Tu te redresses, passe les mains dans tes cheveux et me regarde.

    « Tu viens me rejoindre ? »…

    Je bafouille… 

    « Je n’ai pas de maillot »

    Ton sourire

     « Grave problème…hum…que faire ? » 

    Je vois tes mains passer dans ton dos, je te vois te tortiller dans l’eau dans un ballet un peu surprenant…

    Triomphante, l’une de tes mains ressort de l’eau avec à la main le haut et le bas de ton maillot, et tu lances tout cela loin de toi.

    Tu me fixes… 

    « Maintenant, moi je n’en ai plus »

    Tes yeux sont un défi.

    Je sais que je vais devoir me dévêtir en plein soleil, devant tes yeux qui ne me lâchent pas et ton sourire un peu moqueur…

    Quand il faut y aller…

    Sans te quitter des yeux, j’ouvre ma chemise lentement, bouton par bouton, J’attaque ma ceinture, en prenant mon temps, je commence moi aussi à apprécier le jeu…

    Je sais que tu es nue à quelques mètres de moi, mais l’eau camoufle un peu les contours de ton corps, je le devine plus que je ne vois.

    J’ouvre mon pantalon…une bosse déforme mon slip.

    Je me lance et je me retrouve debout, nu devant toi, le sexe tendu dans ta direction…

    Ton sourire est particulièrement coquin, et pour en rajouter, tu passes ta langue sur tes lèvres d’une façon totalement excitante…

    Je descends dans l’eau, tranquillement, je ne suis pas particulièrement un poisson. Je me rapproche de toi pour t’embrasser…

    Mais dès que je tente de refermer mes bras sur ton corps, tu t’échappes telle une anguille …

    Pendant plusieurs minutes, le même jeu se déroule, à chaque fois que je pense te tenir…

    Tu t’éclipses de l’autre côté de la piscine…

    J’arrive enfin à te coincer contre la paroi, je t’embrasse avec fougue, nos corps sous l’eau se caressent, mon désir se presse contre ta peau…

    Tu t’échappes à nouveau et tu vas t’asseoir sur les marches, tu passes tes mains dans les cheveux pour les sécher un peu, ton geste tend ton corps et tes seins se dressent, tu dégages une sensualité très forte.

    Je viens vers toi, je reste dans l’eau, quand la profondeur disparaît, j’avance en rampant dans ta direction.

    Tu me regardes…Notre désir est réciproque.

    Je suis maintenant devant toi, la tête posée sur tes genoux resserrés.

    Avec un peu d’autorité, mes mains écartent tes jambes, tu résistes pour la forme, le brillant de tes yeux est une invitation….

    Tu abandonnes toute résistance, et c’est toi maintenant qui écarte tes jambes et qui  m’offre le spectacle de ton sexe, ouvert au soleil et à mes caresses.

    Ma tête plonge vers lui et tu te laisses aller en arrière sur les marches.

    Ma langue ouvre tes lèvres, ton parfum intime se mélange au gout de l’eau.

    Ton corps danse sur ma bouche, et ma langue ne néglige aucune partie de toi, Lentement puis de plus en plus vite, autour, et lentement à l’intérieur de toi…

    Pour ne pas faire de jaloux, mes mains vont vers tes seins, le soleil les a déjà pratiquement séchés, leur pointes poussent vers le haut, elles sont dures comme deux petits sexes d’hommes…

    Ma bouche s’abreuve de ta liqueur, je joue à te pénétrer avec ma langue, il est évident que tu apprécies…

    Tu me repousses un peu, tu sors de la piscine…

    Tu fais quelques pas sur la pelouse, ton corps est très beau…

    Tu approches d’un arbre, tes mains se posent sur son écorce et tu te penches en avant, ta tête se retourne un peu vers moi avec un regard très sexe…

    Je sors à mon tour de l’eau, j’ai envie de courir, mais ces secondes sont trop excitantes pour les gâcher…

    Je pose mes mains sur tes hanches, les mots sont inutiles…

    Je m’accroche à toi et je te pénètre…

    Est-ce moi qui viens en toi, ou toi qui t’enfile sur moi…Les deux…

    Notre désir est fort, presque violent.

    Ton corps est bousculé entre cet arbre et moi, mes mains lâchent tes hanches pour attraper tes seins, nous sommes tous les deux à la limite d’exploser, tes jambes tremblent, ton sexe est une fontaine, ta bouche halète…

    Sans sortir de toi, je cherche ta bouche, tu es à la limite de me mordre…

    Notre plaisir éclate presque ensemble…

    Sans se quitter, nous nous laissons tomber sur la pelouse…On est bien

  • A ta merci...

    A ta merci…

    81676701 o

    Nous sommes ensemble, nous nous embrassons lentement…

    Nos moments sont rares, nous en profitons.

    Tu es dans mes bras, mes mains sur toi très sagement.

    Nous avons l’après midi devant nous.

     

    Voilà que tu te lèves, par la fenêtre, tu regardes au loin.

     

    Je t’observe, tu es à croquer.

     

    Ton corps longiligne prend bien la lumière, les rares rayons de soleil d’hiver donnent des reflets d’automne à ta chevelure…

     

    Un détail me surprend, c’est la première fois que je vois un foulard autour te tes cheveux, pas vraiment pour les tenir, juste pour donner envie de camoufler ton cou et attirer mes lèvres…

     

    Tu te tournes vers moi avec un air mi coquin, mi timide…

     

    Je sais qu’une idée ou une question te traverse la tête, je commence à connaître cette seconde ou dans la conversation tu lances une question, une idée, une pensée qui donne l’impression de sauter du coq à l’âne et déstabilise un peu.

     

    Dans ces moments là, celui qui est en face de toi perd quelques secondes à trouver la riposte et tu prends l’ascendant.

     

    Aujourd’hui, tout ton corps est un appel érotique, tes yeux me transpercent et il me faut un gros effort pour ne pas te renverser, et te prendre tel un hussard…

     

    Tu as une autre idée en tête.

     

    Tu détaches le foulard de tes cheveux, commence à le faire jouer entre tes mains…

     

    Tu n’as encore rien dit, mais je commence à croire que cet objet n’est pas sorti de ton placard par hasard, tu as un plan.

     

    Je te regarde et je sais que tu as quelque chose à dire.

    « Tu vois ce foulard ? Acceptes-tu que je t’attache les mains avec, et que tu sois, pendant les deux prochaines heures totalement à ma merci ? »

     

    Que te répondre !

     

    Quel homme refuserait un tel programme !

     

    Je ne dis rien, je dépose sur tes lèvres un baiser, me retourne, met mes mains dans mon dos, les tend vers toi comme un prisonnier se rendant à sa douce geôlière…

     

    C’est fait, mes poignets sont liés, mais le nœud n’est que pour la forme, nous savons tous les deux que je ne chercherai pas à m’échapper.

     

    Je suis debout au milieu de cette chambre…

     

    Tu prends ton temps ! Tu tournes autour de moi, comme un propriétaire inspectant sa marchandise.

     

    Non sans humour, tu tâtes mes bras, examine ma corpulence, mesure mes épaules…

     

    Ton regard est noir, imposant…je crois que tu t’éclates dans cette comédie…

     

    Avec lenteur, tu ouvres les boutons de ma chemise.

     

    Entre chacun, ta bouche vient gouter la zone découverte.

     

    Mes deux seins font l’objet d’une douce attention de ta bouche, ta langue me tête comme un bébé… Je ne dois pas bouger pour ne pas casser le charme, mais ça me démange de reprendre la maîtrise du jeu…

     

    Tu viens défaire mes liens, je suis surpris que le jeu soit déjà terminé.

     

     Dans un souffle, tu me murmures « c’est juste pour enlever ta chemise ». Le nœud se referme.

     

    Tu me pousses sur le lit, et comme à un enfant tu m’enlèves chaussures, chaussettes… et avec une voix autoritaire « debout ».

     

    Je suis de nouveau là, planté au milieu, à ta merci.

     

    Tu recommences tes allers et retours autour de moi, quand tu es dans mon dos, ta langue se pose ça et là sur ma peau, tes mains passent lentement sur mes fesses, une main baladeuse se promène négligemment entre mes jambes, comme par inadvertance.

     

    Tu fixes mon entre jambe et cela augmente la bosse.

     

    Comme je me sens à l’étroit…

     

    Tu le sais, et cela t’amuse car toi tu restes dans une tenue impeccable, parfaitement correcte mais mes yeux devinent tes seins qui pointent…

     

    Tes mains reviennent se poser sur moi, tu fais de grands cercles sur ma poitrine et de temps en temps, ta bouche vient mordiller mes lèvres.

     

    Très lentement, tu te frottes à moi, telle une liane qui danse au gré du vent, tu accentues un peu la pression sur mon ventre.

     

    Je n’ai jamais été aussi excité par une femme, et j’adore à quel point tu t’amuses aussi.

     

    Après cette danse langoureuse, tu t’écartes un peu, tu poses tes mains sur ma ceinture et avec presque un peu de brutalité tu l’ouvres.

     

    Tu accélères le jeu, ma braguette ne résiste pas à ton assaut, et bientôt je suis là devant toi, presque nu, mon désir simplement camouflé à tes yeux par mon dernier rempart.

     

    De toute évidence, tu es satisfaite de voir l’effet sur moi de ton travail.

     

    Tu viens à genoux devant moi, tu baisses cette dernière barrière et mon sexe enfin trouve un peu d’espace.

     

    Sans me toucher avec les mains, ton visage vient effleurer mon membre, comme pour embrasser tes joues.

     

    Tu bouges ta tête, et bientôt je disparais entre tes cheveux. Ce sont des milliers de cheveux qui me caressent et la sensation est douce et enivrante.  

     

    Tu retournes un peu vers la fenêtre.

     

    Je dois avoir l’air malin au milieu de la chambre, nu, en érection, et toi, debout, habillée comme pour sortir.

     

    Ta voix : « je vais me déshabiller, mais à aucun moment, tu ne dois te libérer pour me toucher. »

     

    Tu commences alors devant moi un striptease digne de 9 semaines et demi, avec gourmandise et patience  tu t’effeuilles, tes doigts te déshabillent, mais tes mains te caressent aussi.

     

    J’ai un plaisir fou de voyeur, mais t’exhiber devant moi semble toi aussi te rendre heureuse.

     

    Il ne te reste plus maintenant que tes sous vêtements, et bientôt ton petit soutien gorge t’abandonne.

     

    Tu le poses sur mon sexe, comme sur un petit porte manteau.

     

    Tu es joueuse !

     

    Tu fais maintenant descendre ton string…

    Pas n’importe comment, les fesses tournées vers moi, penchée en avant, très, mais très lentement.

    Toute ton intimité est devant mes yeux.

    Je vois les bords de ton sexe, et je sais déjà que ton excitation est là…

    Tu veux continuer à jouer, tu poses ton string sur ma tête, tu me l’enfiles sur mon visage.

    L’odeur de ton désir frappe mon imagination…

     

    Vas-tu enfin me libérer ?

     

    Non !

     

    Tu me repousses sur le lit et  me fais allonger.

     

    Tu viens un peu au-dessus de moi, et tu utilises tes seins pour me caresser tout le corps, mon visage, mon buste…

     

    Tu évites mon sexe pour descendre vers mes pieds…sensation étrange…

     

    Tu remontes sur mes jambes que tu écartes avec détermination.

     

    Je sens bientôt tes seins sur mes bourses et je ferme les yeux pour augmenter encore la sensation…

     

    Une autre douceur arrive, ta langue remplace tes seins.

     

    Elle vient titiller la peau juste en dessous.

     

    Tu es une femme qui connaît les points faibles des hommes, tu sais à quel point, un souffle, une caresse, une langue sur ces quelques centimètres de peau nous rende fou.

     

    Ta langue est experte, elle me dévore et je suis ailleurs, sur un nuage de volupté.

     

    Bientôt, c’est tout mon sexe que tu lèches comme si tu dévorais une glace…

     

    Je ne veux surtout pas m’abandonner maintenant, c’est trop bon.

     

    Tu fais pénétrer mon sexe dans ta bouche, sans vraiment le caresser, comme pour en faire un moule…

     

    C’est très dur de garder mes mains dans le dos…

     

    Mais toi tu bouges, sans m’abandonner, ton corps vient m’enjamber en sens inverse.

     

    Tu viens  appuyer délicieusement ton con sur ma bouche.

    Ma langue part à ta conquête, elle s’enfonce dans tes chairs, dessine les contours. Ma langue étale partout ton tendre liquide, elle va de ton bouton à ton œillet…

     

    Tout ton ventre appelle les baisers…et je n’ai qu’une langue…

     

    Tu abandonnes mon sexe pour te redresser sur mon visage…Ma langue accélère et je sais que ton corps approche de la délivrance.

     

    J’ai libéré mes mains, elles viennent maintenir tes hanches… ton plaisir arrive…fort et doux…total et intime…

     

    Tu retombes sur moi, ma langue plus lentement reprend ses tendres caresses, plus doucement pour te permettre de redescendre avant de remonter…

     

    Mais plus bas, tes mains et ta bouche s’activent sur moi.

     

    Mon sexe passe de tes mains à ta bouche…

     

    Quand tu sens que le point de non retour est atteint, ta gorge se referme sur moi et dans un cri, j’inonde ta bouche…

     

    Merci…

     

    Tu reviens dans mes bras, tu te colles à moi, nous n’avons pas besoin de parler tout de suite… 

     

  • Mémoires d'un glaçon

    Mémoires d’un glaçon

    Glace1

    Je suis votre ami le glaçon

    Et je veux aujourd’hui vous parler.

    Notre vie est souvent monotone

    Oubliés dans le noir d’un frigo

    Il y fait toujours froid et nous restons là

    Coincés entre les brocolis et les frittes congelées

     

    A chaque fois que la porte s’ouvre

    Nous pensons notre dernière heure arrivée.

    Et notre fin n’est pas toujours drôle

    A fondre dans une boisson trouble

    Sous l’œil de nos copines les cacahuètes

    Sans que personne ne fasse attention à nous.

     

    La mort d’un glaçon est ainsi

    Dans le brouhaha d’un apéritif.

    Notre trépas est parfois plus agréable

    Quand un enfant tombe et qu’une maman

    Nous regroupe pour soulager la douleur

    Et les pleurs d’un enfant blessé

     

    Mais moi, la fin dont je rêve est autre

    Il arrive qu’un maitre de maison

    Nous pose délicatement dans un bol

    Au lieu d’aller dans un salon enfumé

    Il nous pose sous une lampe de chevet

    Une musique douce dans la pièce.

     

    Et puis l’homme nous empoigne délicatement

    Nous dépose tendrement sur une peau douce

    Et là nous promène sur cette terre inconnue

    Nous gravissons deux petites montagnes

    Dont les sommets se redressent à notre passage

    Parfois des lèvres parfumées nous embrassent

     

    Et puis, si nous avons de la chance…

    Glisser plus bas, le ventre, le nombril…

    Et enfin arriver dans ce lieu mystérieux

    Aux contours doux, torturés et bizarres

    D‘ailleurs, un copain a dû y fondre avant nous

    Car l’endroit est déjà tout humide.

     

    Nous savons notre fin proche

    Il y fait si chaud, et la main qui nous porte

    Ne cesse de nous faire tourner dans ce manège

    Qui ondule au rythme de nos passages

    Les parois s’écartant et se rapprochant

    Nous glissons parfois des doigts qui nous tiennent.

     

    Voilà, je voudrais mourir ainsi.

    Porté par des mains amoureuses

    Abandonné dans le corps d’une femme

    Bercé par la musique de ses plaintes

    Eclaireur d’une nuit de tendresse

    Partenaire discret des jeux de l’amour.

  • Produit de beauté.

    Produit de beauté.

     Comment se maquiller quand on est ronde

    La chambre est grande, un peu rétro...

    Ce château transformé en hôtel offre un territoire propice aux rêves.
    Le jour se lève sur la campagne alentour, et le temps est un peu gris.
    Nous avons prévu d'aller visiter la région mais pour le moment nous sommes bien là...
    Je viens de prendre ma douche, je me sens libre avec toi.
    Je m'allonge nu sur le lit, et je commence à lire...

    Le corps totalement au repos.
    Je te regarde entre chaque page.

    Tu es assise devant une ancienne coiffeuse.

    Tu n'es pas nue, tu es mieux que cela.

    Tu as jeté sur tes épaules un déshabillé quasi transparent.


    Il n'est pas attaché et de ma position, je vois ton corps de 3/4 arrière. Ton sein gauche reçoit un maigre rayon de soleil !

    Le soleil est souvent fripon !
    Tu es en train de t'occuper de toi, tu brosses tes cheveux lentement et avec application…

    Maintenant, avec des disques de coton, tu nettoies ton visage...
    Le silence est doux et nous sommes bien.
    Cette nuit, nous nous sommes longuement aimés...
    Mais, sans rien préméditer, notre nuit a été pleine de tendresse, sans vraie folie érotique.

    Un besoin mutuel de se perdre dans le corps de l'autre, une envie forte de se sentir simplement vivants...
    Ton plaisir a été doux, sans envolée lyrique...

    Tu ne le cherchais pas vraiment !

    Nous avions envie  de rester dans le répertoire de la douceur…

    Je crois que mes massages sur ton corps ont duré  des heures....!
    Les minutes s'écoulent...et je ne suis pas vraiment concentré sur mon livre...

    Je profite du temps présent et du spectacle de ton appâts...
     
    D'une façon spontanée et surprenante…!
    Ta voix s'élève comme si tu récitais un rôle de théâtre...
    "Je suis moche, j'ai des rides de partout, quel coup de vieux !"
    Quel est ce jeu ?
    Tu sais très bien que tu es belle à croquer.

    Cherches-tu simplement des compliments ?...

    Tu enchaines...
    "Il faut que je fasse quelque chose...je vais me faire un masque "...
     
    Un sourire sur mes lèvres !

     

    J'imagine que tu vas bientôt apparaitre avec des tranches de concombre, des morceaux d'ananas, d'avocat ou de tout autre chose dont regorgent les magazines féminins...
    Tu te lèves, tu entres dans la salle de bains...en ressort rapidement...
    Il y a longtemps que les pages de mon livre ne tournent plus.
    Que fais-tu ?
    Et puis tu viens sur le lit...à genoux à côté de moi...

    Tu sembles songeuse...quelques secondes encore........
    Et sans préavis !
    Tu te penches et m'embouches !
    L'attaque est fulgurante !
    Mon sexe au repos est prisonnier de ta bouche ! ouah !!!!!!!!!!!!
    Ne voulant pas te laisser en reste, mes mains partent vers toi.
    Tu te redresses, l'œil sévère, tu me regardes.
    "Laisse-moi ! C'est une histoire entre lui et moi !"
    On dirait une réplique de western !
    Je me laisse aller sur le lit pour entrer dans ton jeu...

    Mon livre revient entre mes mains...

    Mais je suis bien incapable de lire…
    Ta bouche revient sur moi, ta main gauche vient caresser mes bourses....

    Tes doigts vont très loin !

    Ta main droite vient saisir la base de mon sexe et tu m'empoignes avec force.... !
    Ta langue dessine sur mon gland une danse diabolique ! Tu ne me laisses aucune chance !
    Quel est ton plan...et comment vas-tu gérer ma jouissance ?
    Vas-tu m'offrir la chaleur de ta bouche ?

    Vas-tu m'enserrer entre tes seins ?

    Vas-tu venir t'empaler sur moi dans les ultimes secondes ?
    Tu accélères le rythme ....
    Tu me branles avec une force et une totale détermination...
    Je ne vais pas tenir longtemps !
    Tes deux mains empoignent mon sexe tandis que ta langue  en parcourt le bout comme pour me pénétrer...
    Mon bassin s'agite...
    Mon souffle devient court...
    J'ai du mal à ne pas fermer les yeux...Je voudrais trop savoir comment tu vas recueillir mon plaisir...
    Tes mains s'écartent et ta bouche m'englobe complètement !
    C'est donc là ?
    Mais tu t'écartes !
    Je ferme les yeux, je ne peux plus me retenir avec ta main qui m'enserre !
    Je pars !
    Quelques secondes s'écoulent et mon plaisir éclate par saccades...
    J'ouvre les yeux...

    A ma grande surprise, ma semence est sur ton visage....
    Tu continues à caresser celui-ci avec mon sexe...Comme avec un pinceau....!
    Et puis tu m'abandonnes et tu commences avec une simplicité diabolique à étaler mon sperme sur tes joues, ton front, et sur chaque partie de ton visage.
    Par tes gestes appliqués, j'ai l'impression de pénétrer en toi par tous les pores de ta peau !

    Belle émotion....
    Et puis...ta voix de comédienne de nouveau...
    "Tu sais que les médecins sont unanimes, c'est le meilleur masque de beauté qu'une femme puisse trouver !"
    Je doute de l'aspect scientifique, mais je suis prêt à militer pour sa généralisation !
    Peu d'hommes s'en plaindront...
    Tu continues ton travail sur le contour de tes lèvres...le menton...le cou...
    Ton œil s'éclaire !
    Mon sexe est posé sur un côté de mes cuisses....quelques gouttes t'ont échappé et sont bien visibles sur ma peau...
    Ton doigt vient directement les récupérer et tu les appliques avec précision sur tes paupières...
    Je ne peux détacher le regard de tes gestes !
    Et puis tu reviens vers moi...ta bouche vient délicatement reprendre mon membre entre tes lèvres, ta langue me prodigue une tendre toilette...
    Je suis au paradis....
    Tu te redresses et vient m'embrasser...
    Ta bouche a le goût de ma semence...sensation trouble !
    Je ne vais pas te lâcher comme cela !
    Les hommes ont aussi le droit à leur produit de beauté...à moi d'aller chercher au creux de ton ventre...
    De quoi hydrater ma peau....

  • Photos

    Photos

    3196293 le jeune homme photographe derriere isole sur un fond noir 3

     

    Nous avons rendez-vous.

    J’arrive et tu es déjà là.

    J’ai à la main un appareil photos.

    J’entre dans la pièce.

    Je commence à te photographier.

    Cela t’énerve un peu et tu te détournes de l’objectif.

    Comme boudeuse, tu pars vers la salle de bain. La porte reste entrouverte.

    Je viens derrière toi. Tu te recoiffes devant la glace.

    J’en profite pour nous photographier tous les deux en reflets. ..

    Je continue, un gros plan de ton visage, je zoom sur tes yeux, ta bouche, je tourne autour de toi.

    Un cliché de ta nuque, te ton dos, de la courbe de tes hanches…

    Tu me fais signe d’arrêter, mais je te sens moins hostile et tu commences à t’amuser de l’objectif.

    Tu envoies un baiser vers l’appareil et je déclenche pour te le conserver.

    Tu sors de la pièce d’eau, un grand lit est au centre de la chambre.

    Tu tournes autour et tu commences à prendre des poses.

    Le soleil qui filtre à travers les persiennes projette ses rayons sur toi.  

    Le soleil est grivois car certains rayons viennent jouer avec la légère transparence de tes vêtements.

    Tout doucement j’ai la sensation de ne plus être dans la pièce et tu ne regardes plus que l’appareil !

    Sensation délicieuse…

    Tu commences à le vamper.

    Tu tournes sur toi-même, ta jupe découvre un peu tes jambes en tournant.

    Tu défais un bouton de ton chemisier et te penches en avant !

    Je zoom sur ton balconnet…Tu te redresses en riant…

    Un « ca suffit » s’échappe de ta bouche…mais il manque tellement de conviction !

    Tu te laisses tomber en travers du lit…Tu tournes sur toi-même plusieurs fois dans tous les sens…tu es très belle et je devine que tu commences à t’amuser.

    A genoux sur le lit, tu avances telle une tigresse vers l’objectif…

    J’ai l’impression que tu vas le dévorer…

    Et tu retombes en arrière….

    Très lentement tu termines d’ouvrir ton chemisier.

    Tes mains viennent passer sous tes seins, tu les offres et j’immortalise la pose !

    Comme si je faisais parler l’appareil, d’une voix blanche je te demande « déshabille-toi »…Un petit « non » s’échappe de tes lèvres…

    Tu es toujours sur le lit, ta tenue reste présentable…

    Ton petit balconnet cache encore ta poitrine, une jupe sage est encore attachée à ta taille.

    Je continue à te mitrailler…

    J’adore le regard d’hésitation que tu as…

    Ta raison te demande de stopper…ton envie te supplie de continuer…

    Pendant quelques minutes, tu continues à prendre sur le lit, des poses sages…

    Je te laisse te mettre en scène mais mon doigt n’arrête pas d’appuyer.

    Et puis…

    Je te vois respirer un grand coup.

    Je sais que tu viens de décider de te jeter à l’eau.

    Une de tes mains remonte ta jupe d’un côté, jusqu’à la lisière de ton bas…puis la laisse redescendre.

    Tu te couches sur le dos et remonte ta jupe sur tes deux jambes…

    Tu te découvres un peu plus haut que tes bas…

    Je sais maintenant que tu ne t’arrêteras plus…

    Tu me tournes le dos d’un coup…

    Ta croupe se projette vers l’objectif.

    Je vois ta main l’une de tes mains ouvrir la fermeture de ta jupe…La repousser lentement pour découvrir un adorable petit derrière que seul un magnifique string sauve encore de la nudité…

    Mon appareil déclenche en rafales…

    Tu te retournes…Ton regard est un défi !

    Une main passe dans ton dos…L’autre tient encore ton soutien-gorge.

    Tout en cachant tes seins, tu fais danser devant l’objectif ton vêtement.

    Et enfin…

    Tu offres à notre vue tes seins…

    Tu deviens très sensuelle…

    Devant moi tu te caresses les seins…

    Je me concentre pour garder la stabilité de l’appareil…

    Ce serait dommage qu’elles soient floues.

    Tu t’allonges sur le dos…

    Tes mains se promènent sur toi…Tu te donnes un plaisir devant ce témoin indiscret…

    Je vois à la pointe de tes seins que la situation t’émoustille totalement…

    Tes mains vont de ton visage à tes seins…De tes seins à ton ventre…Tu écartes un peu tes jambes…

    Je devine les plis de ton sexe encore cachés par ton string.

    Une de tes mains tire sur ce vêtement vers le haut. 

    Le tissu s’incruste dans ton corps.

    Ton délicieux minou est en train de littéralement dévorer le tissu…

    Ton autre main vient à la rescousse…

    Ton corps ondule seul, ta main vient te caresser…

    Tu accélères le jeu…

    Tu jettes ton string loin du lit…Il ne reste que tes bas…

    Personne ne songe à les enlever…Tes mains s’affairent entre tes jambes…le spectacle est très beau…

    Je concentre ma volonté pour ne pas abandonner l’appareil…

    Tes mains se plantent en toi…Tu offres ton plaisir à l’appareil…

    Je zoom sur toi…

    Je vois dans ma petite lucarne les perles de ton plaisir…

    Tu te laisses complètement aller…

    Je suis là…Mais derrière mon appareil, tu arrives à m’oublier !

    Tes yeux se ferment, tes mains s’activent, ton corps danse sur le lit…

    Tu te retournes…

    A genoux sur le lit, les mains entre les cuisses, les fesses tendues vers moi…

    Tes gémissements doux et violents se répandent dans la chambre.

    Le spectacle est magnifique…

    C’est la première fois que je vois en direct un corps de femme se procurer seul du plaisir !

    Tu continues…

    Je suis heureux que tu m’oublies car ton abandon est un cadeau unique.

    Ton plaisir éclate, des spasmes parcourent ton corps…

    Tu t’effondres abandonnée sur le lit…

    Je continue à photographier car je sais que tu n’as aucune idée du spectacle que tu viens d’offrir…

    Ta tête se tourne vers moi …

    Ton sourire est doux…

    Tes yeux sont coquins…

    Je crois que tu veux prolonger le jeu…

    Tu te redresses sur le lit…

    Je suis debout à côté…

    Tu m’attrapes par la ceinture…

    Une bosse déforme mon pantalon depuis longtemps…

    Ta langue espiègle lèche tes lèvres…

    Je continue à photographier…

    Ta main ouvre ma chemise…

    Tu te glisses sous l’appareil pour venir m’embrasser…

    Puis…

    Tu redescends…

    Ma ceinture est maintenant ouverte…

    Tes doigts ouvrent ma braguette…

    Un coup d’œil coquin vers l’appareil…

    Mon pantalon tombe à terre…

    Tu t’attaques à mon dernier rempart…

    Je suis maintenant nu devant toi…

    Je continue à te, à nous photographier…

    Drôle de dédoublement de la personnalité…mon appareil photographie tes mains qui caressent un sexe qui est à moi…

    J’ai l’impression d’être double…

    Tu viens te frotter contre moi…

    Tu enfermes mon sexe entre tes seins et tu t’amuses à me cravater jusqu’à sentir ton souffle…

    Le photographe continue ses clichés plongeants…

    L’homme a du mal à garder son sang-froid…

    Ta bouche se referme sur moi…Tu me dévores et je vois ta bouche déformée par mon membre…

    Quelle photo !

    Tu me fais l’amour avec ta bouche et je commence à douter de ma résistance…

    Ta bouche me libère…

    Tu m’empoignes avec force…

    Ton regard ne quitte pas l’objectif…

    Ta main me branle avec force…

    Tu sais que je vais exploser…

    Je continue à photographier  mais je suis moins certain de la netteté des clichés…

    Je sens mon plaisir monter…

    J’inonde tes seins…

    Ta bouche vient entreprendre une douce toilette….

    Tes yeux ne me quittent pas mais ta langue s’affaire….

    Je lâche enfin l’appareil et m’écroule à côté de toi pour t’embrasser tendrement…

    Je récupère l’appareil…

    Et si…

    En attendant de récupérer des forces…

    On regardait le résultat…

  • Tu es au téléphone...

    Tu es au téléphone...

    Garder la tete droite pour eviter le mal de dos en regardant 545147 w1000

    J'arrive, tu es là...
    Tu es en train de parler au téléphone.
    Un sourire de ta part.
    Tu me fais signe que tu ne peux pas raccrocher immédiatement.
    Tu parles sur un ancien téléphone filaire...et tu es prisonnière du fil.
     
    Tu es très élégante, jupe classique et ample, pull près du corps.
    Je t'écoute...
    Tu m'impressionnes.
    Tu parles d'un sinistre, du partage des responsabilités...du rapport des experts...
    Tu es debout et tu tournes autour de ton téléphone...C'est drôle, tu illustres tes propos par de grands gestes.
    Le sujet semble te passionner...pas moi !
     
    J'ai envie de tester ta concentration...
     
    Je viens m'asseoir à tes pieds.
    Tu sembles surprise et un peu inquiète.
     
    Du bout des doigts, j'effleure tes mollets...
    Tu tentes de me repousser par de petits coups de pied...mais sans grande conviction.
     
    Je te bloque les pies ! Ne bouge plus ! Tu me jettes un œil noir, mais la situation semble commencer à t'émoustiller...
     
    Mes mains caressent l'arrière de tes genoux, ta peau est douce...
    Tu continues à parler avec le plus grand sérieux...
    Je me redresse à genoux...
    J'ai soudain envie de jouer à cache-cache...
     
    Je glisse ma tête sous ta jupe...
    Tes bas sont devant ma bouche...
    Tu ne cherches plus à t'échapper...
    J'ai envie de jouer.
     
    Je viens embrasser l'intérieur de tes cuisses.
    Avec les dents, je commence à tirer sur ton bas pour le faire descendre.
    Tes jambes s'écartent un peu pour me laisser œuvrer.
    Il arrive au sol, tu soulèves le pied pour que je t'en débarrasse.
    Je remonte le long de ta jambe avec la langue sortie...très lentement...de petits frissons recouvrent ta peau.
    Tu continues à parler mais ton débit est moins régulier.
     
    Je change de jambe et je m'attaque à l'autre bas.
    Tes jambes sont maintenant nues.
    Je ressors de ma cachette
    Tes yeux me fusillent adorablement avec des balles à blanc !
    Tu ne vas pas t'en tirer si facilement.
    Ma tête replonge derrière tes jambes.
    Je viens embrasser l'arrière de tes cuisses...
    Ton corps se cambre légèrement.
    Tes propos sont plus flous.
    Ma bouche embrasse ta culote  et mes dents commencent à la descendre.
    Tu résistes un peu mais j'arrive vite à dégager tes fesses....tes cuisses...tes genoux...elle est au sol.
     
    Je ressors de ma cachette.
    Je passe mes mains sous ton pull…
    Je dégrafe ton soutien-gorge.
    Tout en continuant à parler à l'autre...
    Tu m'aides à te débarrasser de cet ustensile.
     
    Je te regarde...tu es toujours en ligne.
    Te savoir nue sous tes vêtements est très excitant.
     
    Je récupère ta petite culotte.
    Je la pose sur mon nez en te regardant dans les yeux...quelle odeur...quel parfum...
    Tes yeux brillent....
    Depuis quelques minutes, je te trouve moins brillante dans ton exposé...
    Et puis...
    Tes yeux s'éclairent et me défient...
    Avec ton petit air provocateur....une de tes mains se pose sur ta hanche.
    Tu dégrafes ta jupe.
    Tu es belle et totalement impudique.
    Tu continues à parler à l'autre mais tes pensées semblent divaguer.
    Tu veux maintenant diriger le jeu !
     
    Un grand fauteuil est derrière toi, profond, avec de larges accoudoirs...
    Et là...
    Tu oses !
    Tu te laisses tomber dedans  et lentement...très lentement...
    Chacune de tes jambes vient prendre place de part et d'autre du fauteuil !
    Tes fesses posées en avant, juste au bord du coussin.
    Tout le bas de ton corps est devant moi...totalement ouvert...ton sexe luisant ne cache rien de son humidité...
     
    Je viens vers toi.
    Je cale mes mains sur tes cuisses et ma langue s'enfonce dans tes chairs.
    Ton interlocuteur ne cesse de te poser des questions...
    Ma langue s'occupe de toute la zone...
    Pendant que ma bouche s'enfonce dans ton sexe, un de mes doigts vient s'immiscer entre tes fesses...
    Tu te contentes maintenant de répondre par des mots courts...très courts...
    Mes doigts glissent en toi...entrent....sortent...reviennent...
    Tu es tellement ouverte que deux doigts, puis trois, s'insinuent dans ton corps. Ton corps est une fontaine !
     
    Je me redresse. Je soulève ton pull et vient lécher tes seins.
    Ta main libre plaque sa tête contre toi.
    Je me recule...
    Le spectacle est très beau.
    Ta position est d'une totale impudeur...les seins à l'air...ton sexe et ton adorable petit cul complètement offerts !
     
    Avec une lenteur calculée...je t'offre à mon tour un petit striptease.
    Je suis maintenant debout...nu devant toi.
    Tu tentes de te débarrasser de ton contact...mais il semble un peu collant !
    J'approche mon sexe de ton visage...
    Ta langue tente de m'attraper...Je m'échappe...
    J'ai trop envie de te prendre !
     
    Je m'enfonce d'un coup en toi !
    Tu sembles chercher un peu d'air...
    Je coulisse en toi...
    Tu n'arrives plus à parler ...
     
    Dans un dernier effort...
    Tu dis à l'autre que ton portable sonne...que tu dois raccrocher...et tu poses le téléphone.
    Tes jambes se referment dans mon dos...
     
    Dans un souffle...quelques mots sortent de tes lèvres..."Salaud ! Tu vas le payer..."
    J'assume par avance les conséquences de mes actes ! Torture-moi ! Je souffrirai en silence....

  • Massage...

    Massage

     2 

    D’abord mes mains.

    Un  peu d’huile

    A l’amande ou au jasmin

     

    Les poser juste là

    A la base de ton cou

    Avec une dévotion de prélat

     

    Les laisser glisser

    En suivant seulement

    Ce chemin apprécié

     

    Sentir sous mes doigts

    Les réactions de ta peau

    Qui me mettent en émoi

     

    Voir ton abandon

    Ecouter tes murmures

    Faire des petits ronds

     

    Laisser mon cercle s’étirer

    Et à la base de tes flancs

    Voir mes doigts s’aventurer

     

    Ne surtout rien précipiter

    En sachant que bientôt

    Ton corps va m’inviter

     

    Partir à l’aventure en ces lieux

    Et voir mes phalanges investir

    Ce doux domaine des dieux

     

    C’est de ta bouche maintenant

    Que s’échappe en quelques souffles

    Ce plaisir, ce désir incessant

     

    Je sais et je devine à ce moment

    Que tu as trouvé par mes doigts

    Un tout nouvel amant

     

    Avec rage tu retiens

    En ton corps en ton sein

    Cette envie de me dire viens

     

    Tes yeux sont fermés

    Et avec douceur mes mains

    Reviennent te masser….

  • Une réunion à la Défense !

    Une réunion à La Défense !

     Tour cb31 escaliers niveau 34b
    Conviés tous les deux à une réunion

    Là-bas dans une tour de la Défense.
    Grand monstre de béton et de verre...
    Nous sommes en retard.
    Nous arrivons devant les batteries d'ascenseurs

    La foule des grands jours, yeux fixés sur les portes...

    Aucune envie d’attendre avec le troupeau
    Je connais bien la tour, je te prends la main.

    Je t'entraine par une petite porte vers les escaliers.

    Ils sont raides, mal éclairés et quasiment  déserts....
    Un peu dubitative en attaquant la montée...
    Avec une totale impolitesse, je te laisse passer devant

    Je me laisse avec plaisir distancer de quelques marches.
    Devant les yeux l'un des plus beaux spectacles de la vie...

    Une jolie femme qui monte un escalier.
    Tu montes vite...
    Je me rapproche et profitant d'un virage....

    Ma main effleure ta hanche...
    Ta vitesse diminue...
    Un peu plus de déhanchement...
    Une petite flamme s'allume dans nos deux cerveaux...
    Tu avances toujours....mais sans conviction...

    Je suis juste derrière toi...
    Je pose mes deux mains sur ta taille...
    Tu t'arrêtes…

    Le temps stoppe sa course quelques secondes....
    Et là...
    Je n'en reviens pas....
    Tu t'agenouilles sur les marches...la croupe tendue vers moi...
    Position d'une indécence totale...totalement animale !
    N'importe qui peut venir et nous surprendre...
    Délicieuse peur que nous partageons...
    Je ne résiste pas...
    Je relève ta jupe...
    Un string déjà humide tente de dissimuler ton ventre...
    Je l'écarte...
    Ton sexe est devant moi...totalement ouvert...
    Je me libère et je me présente sur le seuil....
    Nous le savons, une étreinte rapide et forte...
    Ton corps est prêt...Gourmand du moment…
    Je viens en toi...aussi loin que je puisse aller...
    Dans un murmure…"plus fort" !
    Tu l'auras voulue...
    Je m’élance avec force...presque avec violence...
    A chaque fois, la sensation d'aller plus loin en toi !
    Nous n'allons pas résister !
    Plaisir à l’unisson....explosion dans ton antre...
    Souffles perdus, retour au réel ...
    Nous nous regardons...
    Petits baisers tendres.
    Instants impossibles à oublier…

    Minutes magiques

    Ne restera qu’un délicieux souvenir de folie...
    Mais  nous sommes vraiment en retard...
    Nous arrivons enfin dans la salle de réunion...
    Deux places libres dans cette grande salle...
    Presque en face l'un de l'autre...
    Ton regard m'évite…douce pudeur.

    Tes joues sont un peu rouges...
    Fait-il si chaud ?
    Je regarde tes jambes...
    Tu les serres et tu ne sembles pas très à l'aise...
    Je sais qu'un peu de moi coule en toi...
    Vivement ce soir...
    Nous avons une chambre réservée...
    Et la nuit sera longue....

  • Une Goutte

    Une goutte.

    Images

    Une goutte de champagne

    La coquine s’échappe de vos lèvres

    Elle glisse sur votre cou…fine et quasi invisible

    Elle hésite sur le chemin

    C’est dans votre gorge qu’elle disparait

    Elle échappe à mon regard, la chipie

    Je voudrais l’accompagner

    Descendre entre vos seins

    Refuser la pesanteur

    Remonter vers vos pointes

    Poser mes lèvres pour votre frémissement

    Que ma langue s’enroule

    Que ma bouche vous tête

    Je suis distrait, j’ai perdu ma goutte…

    Oh quelle surprise elle se faufile dans votre dos

    Me voici à sa poursuite

    Impossible de la rattraper…elle descend !

    Vos fesses sous mes yeux…Elle va se cacher

    De mes doigts j’écarte vos globes

    La voilà dans votre tendre sillon

    Ma langue se jette à sa poursuite que déjà

    La voilà qui retourne se tapir

    Dans les plis de votre sexe !

    La pauvre s’est noyée !

    L’endroit est trop humide

    Elle ne pouvait survivre.

    Je vais la venger

    C’est avec ma bouche  

    Que je vais m’efforcer d’assécher la zone.

    Mystère…Malgré tous mes efforts

    Les eaux ne cessent d’enfler

    C’est bientôt tout mon visage

    Qui de votre jus est inondé !

    La petite goutte est devenue geyser !

  • LA JAILLISSANTE

    LA JAILLISSANTE

    Geneva 360485 640

    La ville de Genève, pour elle, est son emblème

    Aux hommes elle offre son explosion suprême

     

    Faire semblant pour elle, quel blasphème

    Envie d’aimer, envie de donner, pas de migraine

    Mourir de jouir un jour, un rêve qu’elle promène

    Mais elle n’est pas pressée, pourvu qu’on l’emmène

    Envol vers ses cieux, pour elle un doux éden.

     

    Femme de chair, sa plus belle offrande est de l’eau

    On la touche, la caresse, on fait vibrer sa peau 

    Nuage de plaisir, de ses cris, vous fait cadeau

    Touchez son corps, aimez ses seins, ses joyaux

    Au moment ultime, une note, un bel allegro

    Il suspend le temps, vous laisse comme un nigaud

    Nulle peur pour vous, ses digues ouvrent les canaux

    En un instant, la jaillissante, conclut son concerto.

  • Au creux de ma couche

    Au creux de ma couche

    Fc94d1fd

    J'aime beaucoup ton texte...oh combien sensuel...!
    Je dois te l'avouer, en le lisant,  elle devient belle
    Maintenant, sur toi, je n'ai plus aucun doute
    Tu aimes le plaisir, quelqu'en soit la route !
     
    J'ai envie de poser mes doigts sur ta croupe
    Pourtant, c'est ton con, qu'il faut que je broute
    Venir me serrer plus haut entre tes seins
    Pour coquine, venir jouir entre tes mains... 
     
    Avant d'aller dormir, j'ai envie de ta bouche
    Allongés tout de travers sur ta couche
    Du bout de ma langue je déclenche des flots
    Moi, entre tes lèvres je ne résiste à l'assaut
     
    Laisse moi ma belle retrouver mon élan
    Du champagne ! Nous avons tout le temps
    Devant tous tes trésors, je ne sais quel choix
    Lequel au plus haut provoquera ton émoi !